Ilfaut réserver environ 10 cm de fils rouge en formant une boucle (voir le schéma ci-dessous). Il sera utilisé pour brancher l'interrupteur à l'étape 2. - De l'interrupteur amener les 3 fils au luminaire, laisser dépasser 15 cm de fil et couper. Le fil supplémentaire est une réserve pour de futur modifications, en cas de changement de luminaire par exemple.
Passer au contenu du forum Echange d'expĂ©riences en plomberie et chauffage RSS du sujet Messages [ 1 ] 1 28-11-2008 205115 electrik Apprentis DĂ©connectĂ© Inscrit 28-11-2008 Messages 3 Sujet Le fil de terre sur installation de plomberie Le rĂŽle de la terre est de vous jamais brancher un fil de terre a la plomberie s'il n'est pas correctement reliĂ© a la terre, Branchez la plomberie a la terre, mais pas la terre a la plomberie, la sĂ©curitĂ© de l'usager en dĂ©pend.... Si elle n'est pas branchĂ©e, elle n'assure plus cette fonction et vous risquez tous simplement l'Ă©lectrocution la mort !.Lorsqu'un appareil est dĂ©fectueux, le courant Ă©lectrique peut envahir toute sa structure. Lorsque vous saisissez la machine, le courant traverse votre corps pour rejoindre la terre c'est l' contre, si le fil de terre est correctement branchĂ©, le courant de l'appareil dĂ©fectueux est Ă©vacuĂ© par ce fil et non plus par votre corps. Cette fuite de courant provoque le dĂ©clenchement des Ă©quipements de protection tels que les interrupteurs ou les disjoncteurs bonne prise de terre et c'est la sĂ©curitĂ© pour vous et votre entourage !La prise de terre doit ĂȘtre prĂ©sente et correcte valeur de la rĂ©sistance et continuitĂ© sur toute l' est important de la faire vĂ©rifier la qualitĂ© de la terre d'une installation, on utilise un appareil appelĂ© contrĂŽleur de boucle de terre ou contrĂŽleur de terre ou encore, contrĂŽleur d'installation.Cet appareil permet de vĂ©rifier deux aspects de la prise de terre la rĂ©sistance ohmique de la prise de terre, du piquet exprimĂ©e en "ohms" cette valeur reprĂ©sente la capacitĂ© de la prise de terre Ă  laisser s'Ă©couler le courant,la continuitĂ© et la rĂ©sistance de la boucle de terre on vĂ©rifie que n'importe quel point de l'installation est correctement reliĂ© Ă  la vous conseillons vivement de faire appel Ă  un professionnel pour rĂ©aliser ces mesures il possĂšde l'appareil de mesure et les compĂ©tences nĂ©cessaire pour effectuer les mesures. Messages [ 1 ] trouvez des Demandez des devis aux de votre rĂ©gion pour . Aller au forum
Lescours de barre à terre qui permettent de gainer et d'étirer le corps seront proposés dÚs que ce sera possible dans la salle des associations. Ouest-France, 19/04/2021 Les sportifs, quant à eux, en parlent comme d'une sangle qu'il faut gainer, pour la rendre solide et mieux assurer la stabilité globale du corps.
Comment brancher une prise Ă©lectrique ? cĂąblage Vous vous demandez comment effectuer le branchement ou le cĂąblage d’une prise Ă©lectrique sur un circuit existant ? Comment brancher une prise Ă©lectrique ? ou plutĂŽt comment la cĂąbler ? Nous vous expliquons en quelques Ă©tapes comment brancher une prise Ă©lectrique Legrand pour pouvoir y... En savoir plus Comment dĂ©placer une prise Ă©lectrique ? Pour rĂ©pondre aux besoins en alimentation Ă©lectrique des piĂšces de la maison, il est parfois nĂ©cessaire de dĂ©placer une prise Ă©lectrique. Cela implique forcĂ©ment une modification de l’emplacement des cĂąbles Ă©lectriques qui pourront ĂȘtre soit installĂ©s en saillie soit encastrĂ©s dans... En savoir plus
Lefil du Neutre (bleu) est directement reliĂ© Ă  un Wago dans la boĂźte de dĂ©rivation. De celui-ci, plusieurs fils Neutre sont raccordĂ©s aux diffĂ©rentes lampes. A noter qu’il y a autant de fils Neutre que de points lumineux. Prenez ensuite une autre borne Wago pour le raccordement de la Terre aux lampes. Comment doubler une suspension ?

Rappel Le fil de terre est en gĂ©nĂ©ral au milieu de la prise. La lettre N indique le neutre fil bleu. La lettre L indique la phase fil rouge, marron ou noir. Comment fonctionne une douille Ă©lectrique ? Ou brancher le fil marron ? Le fil rouge, marron ou noir correspond au conducteur de phase. En clair, c’est par ce cĂąble Ă©lectrique que le courant arrive. Le fil jaune et vert rayĂ© correspond au conducteur de protection, qui permet la mise Ă  terre, et qui ne conduit pas le courant. Le fil orange ou le violet est un fil navette ». par ailleurs Ou brancher la terre sur un luminaire ? Branchement au tableau Ă©lectrique Branchez le fil rouge Ă  la phase L de la sortie du disjoncteur qui protĂšge le circuit. Connectez le fil bleu au neutre N de la sortie du disjoncteur. Connectez le fil de terre Ă  la terre du rĂ©seau. Quelle est la couleur du phase et du neutre ?Ou brancher le fil marron et bleu ?Pourquoi pas de terre sur lampe ?Quelle diffĂ©rence entre la phase et le neutre ?Comment retirer les fils d’une douille sans vis ? Quelle est la couleur du phase et du neutre ? Les fils de phase, qui permettent l’alimentation Ă©lectrique de l’installation, sont ainsi de couleur marron/noire ou rouge. Les fils du neutre, qui permettent notamment le dĂ©clenchement du disjoncteur, sont bleus. Les fils de terre, qui permettent la protection du logement, sont jaunes ou verts. Comment rĂ©parer une douille ? Les Ă©tapes Ă  suivre pour changer la douille d’une lampe Coupez l’électricitĂ©. DĂ©posez l’ampoule. DĂ©montez la douille dĂ©vissez la chemise et les bagues. DĂ©vissez les vis qui fixent les fils. Inspectez les fils. 
 DĂ©nudez les fils sur 5 mm Ă  10 mm. InsĂ©rez les fils dans le culot de la nouvelle douille . Comment devisser une douille bloquee ? Pour dĂ©bloquer le tout, il faut glisser un tournevis ou tout autre objet court et fin, pour appuyer sur le petit ergot en plastique ou en mĂ©tal, en mĂȘme temps que l’on tente de dĂ©visser. Comment dĂ©bloquer la douille E 14 ? Bonsoir, Il faut pousser la languette pour qu’elle Ă©chappe l’encoche pas plus tout en dĂ©vissant; cela l’aide d’un tournevis trĂšs fin ou de tout autre objet pointu qui convient . Ou brancher le fil marron et bleu ? Le fil bleu est celui du neutre, le marron celui de la phase, commandĂ©e par un interrupteur vous pourrez donc brancher directement les conducteurs du lustre Ă  ces deux conducteurs par l’intermĂ©diaire d’un domino dĂ© de raccordement ou de connecteurs. Ou brancher la phase et le neutre ? Par convention, sur une prise vue de face, le neutre est Ă  gauche et la phase, Ă  droite. Pour s’assurer qu’une prise est correctement raccordĂ©e, vous pouvez la contrĂŽler sans rien dĂ©monter. Ou brancher fil bleu ? Comment brancher une prise Ă©lectrique ? Le bleu sur la borne neutre, Le vert/jaune sur la borne terre, Le rouge sur la borne phase ce fil peut ĂȘtre d’une couleur diffĂ©rente. Comment brancher les fils d’un lustre ? Il faut impĂ©rativement que le courant soit bien coupĂ© avant de raccorder les fils Ă©lectriques du plafond Ă  ceux du boĂźtier du lustre. Branchez les fils, rouge sur rouge, et bleu sur bleu. Maintenez bien votre lustre durant toute cette opĂ©ration. À aucun moment, il ne doit rester suspendu aux seuls fils Ă©lectriques ! Pourquoi pas de terre sur lampe ? pourquoi il n’y a pas de terre sur les lampes de chevet ? RĂ©ponse Certains de ces appareillages font partie de la classe 0 pas de double isolation, pas de terre. Tous les organismes de sĂ©curitĂ© en DECONSEILLENT fortement l’usage classe 0. Comment cabler un luminaire ? Ôtez la douille et la fiche du boĂźtier DCL. Placez les fils dans la fiche DCL la phase sur la borne L, le neutre sur la borne N, la terre au milieu. Serrez le cache-fil de la fiche sur le cĂąble du lustre. Clipsez la fiche dans le boĂźtier au plafond, suspendez le luminaire au crochet et remontez le cache-fil. Comment savoir oĂč est la phase et le neutre ? Par convention, sur une prise vue de face, le neutre est Ă  gauche et la phase, Ă  droite. Pour s’assurer qu’une prise est correctement raccordĂ©e, vous pouvez la contrĂŽler sans rien dĂ©monter. Quelle est la phase et le neutre ? Le fil phase est le plus dangereux des fils en Ă©lectricitĂ©. En principe, les fils Ă©lectriques possĂšdent un code couleur rouge pour la phase, bleu pour le neutre, jaune et vert pour les fils de terre. Quelle diffĂ©rence entre la phase et le neutre ? La phase est le fil conducteur qui amĂšne le courant jusque chez vous. Le neutre est le fil qui en assure la rĂ©partition. Si l’on branche un voltmĂštre entre ces deux bornes, on observe une diffĂ©rence de tension d’environ 230 volts. Comment rĂ©parer une douille de lampe ? Avec une pince multiprise, commencez par desserrer la bague qui relie le culot Ă  la douille. À l’aide d’une pince Ă  dĂ©nuder, ĂŽtez 5 mm de gaine sur chacun des deux fils. Torsadez les brins de cuivre et vissez chaque fil dans sa borne de connexion. InsĂ©rez le noyau dans le culot et remontez la douille. Comment changer une douille Ă  baĂŻonnette ? Il faut simplement retirer l’ampoule qui y est fixĂ©e, puis dĂ©visser le culot situĂ© dans la partie caudale. Ainsi, le corps de la prise qui contient le noyau du support sera accessible, de mĂȘme que les bornes de raccordement. DĂ©connectez les fils des bornes pour retirer complĂštement la douille Ă  baĂŻonnette dĂ©fectueuse. Comment ouvrir une douille Ă  vis ? Le cliquet entourĂ© d’un trait rouge, il faut tordre la languette vers le centre avec un petit tournevis et dĂ©visser en mĂȘme temps on dĂ©visse en tournant vers la gauche Ensuite avant remontage il faudra dĂ©tordre la languette pour lui rendre sa fonction. Comment retirer les fils d’une douille sans vis ? C’est en actionnant un levier ou en appuyant sur une languette que les fils peuvent ĂȘtre retirĂ©s selon le type de douille DCL installĂ©e. Il est ensuite nĂ©cessaire de tirer suffisamment sur les fils, en effectuant un mouvement de rotation du poignet pour parvenir au retrait. Comment enlever support ampoule ? Pour dĂ©monter la douille Ă  remplacer, il vous suffit de dĂ©visser les bagues et la chemise de la douille. Si votre douille est en plastique, en fonction des modĂšles, vous devrez enfoncer un cliquet pour pouvoir enlever la chemise. N’oubliez pas de partager l’article sur Facebook et Twitter ✹

Leleader des Insoumis, Jean-Luc MĂ©lenchon, sera Ă  la « FĂȘte de l'Huma », prĂ©vue les 9, 10 et 11 septembre en Essonne, aprĂšs six ans d'absence, a-t-on appris mercredi 24 aoĂ»t auprĂšs de par EhJoe » 22 Sep 2007 1822 Zeltron57, ok, merci, je vais me renseigner, je ne sais plus pourquoi on m'a demandĂ© ça ? En fait, je n'avais jamais eu le cas d'avoir le fil de terre qui passait par le chemin d'un futur interrupteur, alors je me suis demandĂ© s'il se coupait, on m'a dit non, ok. Pour l'interrupteur, je n'avais pas pensĂ© Ă  l'arc, c'est vrai que ça peut fondre, j'ai eu raison de venir ici... Il doit fallaoir mettre un truc prĂ©vu pour les arcs, porcelaine, par exemple ? Oui, c'est prĂšs d'une source d'eau, je ne sais pas si c'est dans l'espace 1 ou 2, je pense 2 +60cm... Faudrait mesurer, en plus le cache-fils est Ă  l'envers, son ouverture est en haut, si de l'eau arrive, ça va faire sac... c'est pas moi ça... Alors tu dis que c'est interdit de mettre un interrupteur en amont d'un convecteur, mais pourtant, quand tu coupes un disjoncteur gĂ©nĂ©ral, en amont lui aussi d'un convecteur, qui peut lui aussi ĂȘtre en charge, c'est autorisĂ© ? Interdit, mais encore, certains convecteurs ont des interrupteurs, qui dans l'absolu, peuvent s'ouvrir en charge ? ??? Pourle passage du fil de terre faut-il grignoter progressivement le mur prise de courant par prise de courant ? Composition du mur (de l'extĂ©rieur vers l'intĂ©rieur) = mur en parpaings creux de 20cm d'epsr puis doublage des murs pĂ©riphĂ©riques en briquettes creuses de 4 cm d'epsr enduites au plĂątre fin 1 face. Feuilles de polystirĂšne
Jempee NouveauMessages 6EnregistrĂ© le lun. 18 janv. 2010 2118 Fils de terre Bonjour, J'ai une boite de dĂ©rivation dans la cuisine avec 6 circuits pour Ă©lectromĂ©nager. La plaque induction en est la seule Ă  avoir un fil de terre qui repart jusqu'au disjoncteur. J'ai reliĂ© la terre des 5 autres circuits sur celle de la plaque induction. Faut il que je tire 5 fils de terre ou alors je peux laisser comme-ça. merci Ă  vous forward11 PassionnĂ©Messages 373EnregistrĂ© le lun. 6 avr. 2009 1137 Re Fils de terre Message par forward11 » ven. 22 janv. 2010 2027 Bonsoir, d'abord la terre ne va pas au disjoncteur. Dans le cas contraire, il y aurait un problĂšme lourd... Mais je pense que c'est vraisemblablement une confusion terminologique... La terre doit ĂȘtre raccordĂ©e sans doute sur un bornier en dessous des rails des disjoncteur et ID. Ceci Ă©tant, s'agissant de votre question, la terre d'un circuit ne constitue pas par dĂ©finition un bornier pour d'autres appareils. Vous pouvez naturellement en dĂ©duire qu'il vous reste Ă  retirer des fils vert et jaune pour raccorder les prises qui ne sont pas ramenĂ©es Ă  l'Ă©quipotentialitĂ©. Cordialement GAS ModĂ©rateur & AdminMessages 2092EnregistrĂ© le mar. 25 mars 2008 1045 Localisation Roussillon Re Fils de terre Message par GAS » ven. 22 janv. 2010 2043 Bonsoir, Au risque de dĂ©cevoir notre ami forward11 ,le sous-paragraphe de la NFC 15-100 stipule "Lorsqu’un conducteur de protection est commun Ă  plusieurs circuits, la section de ce conducteur de protection doit ĂȘtre dimensionnĂ©e en fonction de la plus grande section des conducteurs de phase.". Si cette disposition est vĂ©rifiĂ©e, le cĂąblage de notre ami Jempee est tout Ă  fait conforme. Cordialement GAS forward11 PassionnĂ©Messages 373EnregistrĂ© le lun. 6 avr. 2009 1137 Re Fils de terre Message par forward11 » ven. 22 janv. 2010 2149 Re-Bonsoir, Je m'incline toujours devant Gas, LigneDirecteBand, Carminas et quelques autres fĂ©rus d'ici . En clair, si la plaque Ă  induction est alimentĂ©e par du 6ÂČ, tout va bien... Mais dans le cas oĂč tous les conducteurs sont du N'y aurait-il pas un problĂšme de section ? Je coupe les cheveux en quatre... ou pas? GAS ModĂ©rateur & AdminMessages 2092EnregistrĂ© le mar. 25 mars 2008 1045 Localisation Roussillon Re Fils de terre Message par GAS » ven. 22 janv. 2010 2217 Re, Si les conducteurs de phases, de neutres et de protections ont tous la mĂȘme section, le problĂšme ne se pose pas car cela rĂ©pond bien Ă  Cordialement GAS janloup NouveauMessages 12EnregistrĂ© le lun. 7 juil. 2008 0813 Re Fils de terre Message par janloup » dim. 24 janv. 2010 1316 Bonjour, La norme c'est d'avoir un circuit spĂ©cialisĂ© pour les plaques Ă©lectriques, donc on ne peut pas l'utiliser pour un autre circuit. Cordialement marco380 Re Fils de terre Message par marco380 » dim. 24 janv. 2010 1533 Bonjour, la nfc 15-100 tolĂšre qu'un fil de terre puisse ĂȘtre distribuĂ© sur plusieurs circuits, Ă  condition que ce fil de terre ait une section Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  la section des plus gros fils constituant le groupe de circuit desservi par ce fil de terre. S'agissant d'une cuisine, si votre installation est aux normes, il doit y avoir un circuit de 6mmÂČ pour la cuisiniĂšre, donc il est possible de se servir du fil de terre de 6 mmÂČ faisant partie de ce circuit pour le ditribuer aux autres circuits qui sont eux en mmÂČ. AprĂšs, si vous n'avez que des circuits en mmÂČ qui arrivent dans votre cuisine, il suffit qu'un simple fil de terre de mmÂČ allant au tableau gĂ©nĂ©ral relie la cuisine et tout est bon. Cordialement, Marco Jempee NouveauMessages 6EnregistrĂ© le lun. 18 janv. 2010 2118 Re Fils de terre Message par Jempee » dim. 24 janv. 2010 1544 pour complĂ©ter ma plaque induction est heureusement alimenter par du 6ÂČ. cordialement janloup NouveauMessages 12EnregistrĂ© le lun. 7 juil. 2008 0813 Re Fils de terre Message par janloup » dim. 24 janv. 2010 2111 Donc quand le consuel passe c'est bon. Je ne savais pas, j'Ă©tais persuadĂ© qu'il fallait respecter la ligne spĂ©cialisĂ©e pour les trois fils. Merci de ce renseignement. Retourner vers RĂ©alisation d’installation bĂątiment et tertiaire » Aller Ă  Accueil du site SchĂ©mathĂšque Aide pour poster une image dans le forum Participer au fonctionnement du site... RĂ©alisation d’installations ou extensions, aide par professionnels et initiĂ©s ↳ RĂ©alisation d’installation bĂątiment et tertiaire ↳ CĂąbles, gaines, Tableaux, coffrets
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Pourun arrosage manuel d’un sol paillĂ© (avec un arrosoir), la rĂšgle est toujours la mĂȘme que pour un sol non paillĂ©. C’est-Ă -dire qu’il faut enfoncer un doigt dans la terre pour distinguer si cette derniĂšre est encore humide ou sĂšche. Si le sol est sec, un arrosage est alors recommandĂ©. Que ce soit pour les plantes en pot ou en
J’ai Ă©crit cet article pour soutenir Jean Luc MĂ©lenchon et l’Union populaire aux beaucoup d’entre nous, je suis infiniment déçu de notre nouvelle dĂ©faite si prĂšs du ne faut pas perdre espoir et continuer Ă  lutter encore, chacun comme il le peut. Les lĂ©gislatives Ă  venir constituent peut-ĂȘtre une opportunitĂ© de gouverner, Ă  tout le moins une possibilitĂ© d’inflĂ©chir la politique du futur que jamais il nous faut un changement radical et le moyen le plus sĂ»r d’y parvenir serait l’élection d’un gouvernement grĂące Ă  ce texte je rĂ©ussis Ă  convaincre ne serait-ce qu’une petite poignĂ©e d’électeurs supplĂ©mentaires de voter pour la nouvelle union populaire, alors je serai satisfait. Je crois en la nĂ©cessitĂ© d’un changement radical pour que la France avance dans le 21Ăšme siĂšcle d’une façon constructive et positive, et pour les français, et pour le reste de l’ radical, je n’entends pas violent, mais consĂ©quent. Ce changement n’est pas seulement nĂ©cessaire, il est tout Ă  fait parmi les candidats en lice dans cette prĂ©sidentielle de 2022 je ne vois qu’une personne incarnant un tel changement susceptible de l’emporter. C’est comme vous l’avez compris Monsieur le dĂ©putĂ© Jean-Luc continuerai donc de voter Ă  gauche malgrĂ© les Ă©pisode Hollande et consorts, car je crois en la possibilitĂ© de mener une politique responsable et progressiste qui poursuive des idĂ©aux et qui ne se fixe pas pour seul but de permettre au marchĂ© Ă©conomique un dĂ©veloppement faut changer promptement, avec urgence. Il y a urgence Ă  prendre soin de la planĂšte, de la nature dont nous dĂ©pendons et des femmes et hommes que nous changement doit ĂȘtre profond et il doit se faire autant dans la politique Ă  Ă©tablir que dans les consciences ce changement est d’autant plus possible qu’il est profond. Car les consciences, nous sommes tous libres de les changer. Il nous appartient de mener nos vies d’une maniĂšre un peu diffĂ©rente afin de prĂ©server ce monde et mĂȘme de tĂącher dans la mesure du possible de rĂ©parer ce qui a Ă©tĂ© dĂ©truit et de l’amĂ©liorer..Ainsi ma prĂ©fĂ©rence va Ă  Jean-Luc MĂ©lenchon car il propose vraiment de protĂ©ger l’environnement et de faire de cette protection une mĂȘme, il aborde de front le thĂšme tout aussi central de la protection de l’humain, de la nĂ©cessitĂ© d’avoir des conditions de travail non seulement dignes mais meilleures, ici en France, mais aussi ailleurs dans le monde. Et Ă  cette fin d’opĂ©rer un contrĂŽle de qualitĂ© environnementale et humaine des produits entrant sur le territoire propose aussi d’aider les pays pauvres Ă  se dĂ©velopper, et c’est cette façon, la seule juste, de considĂ©rer l’humanitĂ© comme un tout, qui me rend ce candidat est un des seuls Ă  proposer un projet d’avenir pour le pays quand tristement, les autres candidats ne montrent pour la plupart quasiment aucune initiative, aucune autre ambition pour le pays, que celle de retrouver “la croissance”. Il un des seuls qui propose des idĂ©es, les autres se contentant de gĂ©rer le rĂ©el, incapables d’amorcer un dĂ©but de changement, enfermĂ©s Ă  leur escient dans leur carcan du principe de ne peux pas dire que je sois d’accord avec toute sa mĂ©thode mais qu’importe, Jean-Luc MĂ©lenchon est le bon candidat. D’ailleurs qui est d’accord sur tout ? Le dĂ©bat est la richesse de notre dĂ©mocratie. Je pense que cet homme peut faire du bien Ă  la j’espĂšre que les idĂ©es que j’exposerai ici, en ce qu’elles vont en grande partie dans le mĂȘme sens que celles de ce candidat, vous en sujets Ă  traiter sont d’une quantitĂ© dĂ©routante, vu qu’il nous faut repenser un horizon nouveau pour nos sociĂ©tĂ©s dĂ©mocratiques. Aussi voudrais-je apporter ma modeste contribution dans quatre paragraphes traitant de quatre thĂšmes d’une façon ouverte, pensĂ©s comme des pistes de rĂ©flexion sur ce que je crois ĂȘtre des thĂšmes cruciaux dans la tĂąche qui nous incombe de construire un monde durable et faire Ă  tout prix » ou la croissance pour seul horizonNous serions pauvres, et promis à une baisse de niveau de vie rééquilibrage en faveur de l'Asie serait en passe de survenir et nous, occidentaux outrageusement dépensiers, devrions très prochainement nous serrer la ceinture pendant des années jusqu'à rééquilibrer les dépenses et ainsi assainir les finances publiques. Il nous faudrait travailler plus, plus longtemps, retarder l’ñge du dĂ©part Ă  la retraite. Sacrifier les droits des travailleurs pourtant acquis de haute prĂȘche libĂ©ral qui ne dit pas son nom, subtil mĂ©lange de faits Ă©conomiques rĂ©els et de projections politiques, et qui se prĂ©sente comme une Ă©vidence absolue, est martelĂ© en permanence dans les médias. C’est l’orthodoxie Ă©conomique que l’on nous sert Ă  longueur de France, pauvre ? Je ne peux que ressentir une profonde indignation à constater autour de moi la vivacité de cette assertion dĂ©libĂ©rĂ©ment mensongère. Il y a des pauvres en France, et de plus en plus, mais le pays est riche. RĂ©pĂ©ter Ă  tue-tĂȘte que l’économie va mal », que la France va mal », que notre identitĂ© est menacĂ©e » c’est faire Ă©tat d’une liste de symptĂŽmes soigneusement sĂ©lectionnĂ©s, pour mieux occulter les problĂšmes vĂ©ritables, peu ou prou passĂ©s aux oubliettes par les candidats de droite la rĂ©partition des richesses et le saccage de notre environnement. GrossiĂšre manipulation, consistant Ă  appuyer fortement sur des problĂšmes relativement mineurs pour dĂ©tourner l’attention des Ă©lecteurs et ne pas aborder les questions de qui voyage souvent, quand je rentre en France, le pays me semble d’une richesse France est riche, très riche, culturellement et Ă©conomiquement et ceux de nos politiques qui passent leur temps Ă  agiter le chiffon rouge anxiogĂšne du dĂ©clin sont soit des inconscients, soit des menteurs. Mais mon propos dans cet article n'est pas de tenir un réquisitoire contre le manque de vision ou les mensonges de nos dirigeants, mais de montrer quelle nouvelle voie il est possible d'emprunter pour sortir de cette crise, qui n'est pas tant financière qu'idéale, car c'est bien d'une crise des idées dont nous sommes en ces temps crise des idées si grave que les experts de tous les domaines et de tous les bords qui répandent leur prétendue expertise dans tous les médias ont perdu leur faculté de jugement. Tout est jugé à l'aune, non pas d'un productivisme, mais d'un "faire".Car, entraînés que nous sommes par l'élan irrésistible de la course à la production, le champs sémantique et conceptuel s'en est trouvé bouleversé pour faire accroire que faire est égal à dynamique de vie et repos à régression. Une sorte d'embrouillement intellectuel passé inaperçu mais aux conséquences les plus funestes pour nos sociĂ©tĂ©s..Ne rien faire est devenu suspect, c'est même considéré coupable par rapport à faire n'importe croissance est le remède à tous les maux. Croissance, axe vertébral de cette mystification, de ce dévoiement du faire. Je peux vous parier, car c'est déjà le cas depuis 30 ans, que peu importe le taux de croissance, le chômage restera constant, et même, me souviens encore avoir provoqué les gémonies de mon sociologue de professeur à l'université quand dans mes travaux de recherche, j'avais affirmé que paradoxalement, on devrait se réjouir dans un pays riche comme la France d'avoir un nombre important de chômeurs. “Brûlot, pamphlet politique, du grand n'importe quoi, loin, très loin de la scientificité qui sied à tout travail universitaire”.Je défendais la thèse selon laquelle grâce aux gains considérables de productivité dans l'agriculture, l'industrie et les services, il existait aujourd'hui peu de domaines où un homme ne pouvait pas accomplir seul la tâche où un siècle plus tôt dix hommes étaient situation unique dans l'histoire de l'humanitĂ© aurait dĂ» nous réjouir puisqu'elle nous permettait de nous libérer de plus en plus du travail. En énonçant ce constat arithmétique, je fus traité de fou. Mais l’histoire nous montre que, du fait de l’absence de mĂ©canismes correcteurs efficaces, les gains de productivité sans cesse augmentĂ©s, ont abouti Ă  l’accumulation des richesses entre les mains de quelques-uns, au lieu de laisser place à un partage plus des courses puisque des machines remplacent les hommes au travail, il y a des chômeurs. Face à cette situation, plusieurs possibilités s'offrent à nous. Celle qui semble la plus logique, la plus pleine de bon sens, la plus équitable, la plus responsable, la plus belle, est la suivante Puisqu'il y a moins de travail pour le même résultat, partageons ce travail ce qui dans les faits, se traduit par une diminution considérable des temps de travail et les gains ce qui permettrait à chacun de continuer à avoir une activité de production sociale, un salaire lui permettant de vivre et beaucoup plus de temps pour les activités de son choix, autres que celles créatrices des seuls besoins de l’on schĂ©matise Ă  des fins d’illustration On part d’une situation oĂč dans une entreprise 50 employés travaillent 40h/semaine productivité = *10 du fait de l’amĂ©lioration constante des technologiesOn arrive Ă  une situation oĂč pour la mĂȘme quantitĂ© de production, on a besoin de 5 employés travaillant 40h/ semaine Logiquement, si on réorganise les tâches en fonction des nouvelles machines productives on arrive à 50 employés travaillant 4 heures par semaine ou 2 jours par mois. N'est-ce pas là le début du paradis, où nous tous, libérés de la fatigue d'une tâche souvent ingrate, nous pourrions nous adonner aux innombrables activités de notre choix et aux plaisirs de la vie les plus divers ?Mais ce n'est pas la voie qui a été choisie. La possibilité choisie est la suivante la productivité est 10 fois supérieure mais le propriĂ©taire, ne va pas garder les 50 salariés, les faire travailler 10 fois moins et les payer le même salaire ce qui aurait été sympathique.Il va licencier 45 employés, en garder 5 qui feront toujours 40 heures chacun, les payer le même salaire et il arguera des coûts des machines, d'entretien des coûts de production, du montant des impôts, la liste de prétextes est infinie... ainsi augmentera ses bénéfices du nombre de salaires qu'il ne paye plus. Même exemple L'exploitant agricole vend pour 100 000 euro par mois, paye ses 50 salariés 1000 euros, soit 50 000 eurosil lui reste 50 000 euros de bénéfices. Avec l'arrivée de la machine, il produit toujours pour 100 000 euros par mois mais pouvant se contenter de 5 salariés, ne paie que 5000 euros de lui reste 95 000 euros, il a augmenté ses bénéfices de 90%. Le problĂšme, c'est que nous avons désormais 45 sĂ»r, tout cela est extrĂȘmement schĂ©matique. Mais pas tellement en fait. Je veux par ces exemples un peu caricaturaux, non pas faire la caricature d’un systĂšme mais bien dĂ©noncer une tendance nettement audible ces derniers temps dans les mĂ©dias, et qui est opposĂ©e Ă  nos deux candidats de gauche quand ils abordent ce sujet de la rarĂ©faction du discours tenu par Mr Lenglet, l’économiste attitrĂ© de France 2 et donc qui bĂ©nĂ©ficie d’une large audience est un parfait exemple de cette contre vĂ©ritĂ© Ă  la peut sembler un dĂ©tail, mais ce n’est pas un dĂ©tail. Absolument travail humain nĂ©cessaire Ă  l’effectuation d’une tĂąche donnĂ©e est en constante diminution du fait des constants gains en productivitĂ©, consĂ©quence de la progression des sciences et on entend souvent dire le contraire ces derniers temps, chiffres, statistiques et tableaux Ă  l’appui. Mais l’on mĂ©lange joyeusement toutes sortes de donnĂ©es qui n’ont rien Ă  voir les unes avec les autres, pour aboutir Ă  des constructions opaques qui viennent appuyer notre parti argumente que certains secteurs ne parviennent pas Ă  recruter, qu’il y a plus de travailleurs aujourd’hui qu’il y a 100 ans et autres rhĂ©toriques vaseuses que l’on n’oserait pas prĂ©senter Ă  un collĂ©gien dans un problĂšme de sĂ»r, il y a plus de travailleurs aujourd’hui qu’il y a 100 ans puisque la population mondiale a presque quadruplĂ© et que la population française et passĂ©e de 40 millions Ă  65 millions en un siĂšcle et que les femmes ont enfin Ă©tĂ© comptabilisĂ©es comme participant Ă  l’économie sĂ»r, des emplois se crĂ©ent tant que l’on dĂ©cide de crĂ©er de plus en plus d’objets et services Ă  l’utilitĂ© douteuse, ce qui ne signifie pas que les gains en productivitĂ© n’aboutissent pas Ă  une rĂ©duction de l’effort humain nĂ©cessaire Ă  l’accomplissement d’une mĂȘme l’on mĂ©lange allĂšgrement ces diverses donnĂ©es pour vous servir un conclusion malhonnĂȘte intellectuellement mettant en doute la courbe absolument logique d’une rarĂ©faction du cela est faux. Et je demande au lecteur de bien mĂ©diter cette phrase et de bien mĂ©diter sur les implications que ce constat suppose pour l’organisation sociale, pour le pays, et pour le travail humain nĂ©cessaire Ă  l’effectuation d’une tĂąche donnĂ©e est en constante diminution du fait des constants gains en productivitĂ©, consĂ©quence de la progression des sciences et aux consĂ©quences rĂ©elles des gains en productivitĂ© et de la rarĂ©faction du travail qui s’ensuit Comment faire pour nourrir ces pauvres bougres qui n'ont pas de quoi se payer à manger. Un manger qui existe soit dit en bien, puisque le patron n'entend pas partager ses bénéfice, il faut leur trouver un nouveau travail, mais précisément, il n'y a plus de travail du fait des machines. Et c'est là qu'intervient le mythe imparable et salvateur de la croissance. Dieu en personne a trouvé son incarnation dans la seconde moitié du 20ème siècle. Pas de travail ? Nous allons en créer ! Comment cela ? Les besoins de tous ne sont-ils pas déjà satisfaits ? Si la nourriture, les maisons, les vêtements, sont déjà disponibles en quantité suffisante pour tous. En inventant des besoins bien sûr, en produisant une masse infinie d'objets plus ou moins inutiles. En polluant la planète d'une quantité astronomique de déchets. En profitant au passage de guerres meurtrières peu importe qui les fait et au nom de quoi pour faire tourner un complexe militaro-industriel qui se porte mieux que est le visage du dogme imposé de la croissance faire, faire n'importe quoi, faire, pourvu que cela produise de l'argent, et si au passage ça crĂ©e des emplois, tant mieux, cela calmera les ardeurs subversives des armĂ©es de voilà comment en quelques décennies, l'homme qui grâce à la fulgurante progression des sciences et technologies se trouvait en mesure de se libérer du poids de la lutte pour la survie s'est enchaîné, sous l'impulsion et à la faveur d'une classe et c’est lĂ  une des difficultĂ©s, les actionnaires sont bel et bien une classe mais trĂšs difficile Ă  cerner et Ă  circonscrire physiquement, voire Ă  incarner à la production massive d'un monde infini d'objets sous l’Ɠil complice du Dieu croissance. Combattants devant l'éternel pour la reproduction de l'espèce sur le point d'obtenir notre libération, nous nous sommes constitués esclaves d'un dogme absurde, ravageur et aujourd’hui tout Ă©vidence funeste, nous lançant dans la course folle du productivisme qui usurpe son nom et bientôt dans ce que j’appelle l'esprit du faire ».Pourtant, un autre monde est possible. Plus logique, meilleur, plus harmonieux, plus juste, plus beau. Il est là, tapi en nous, à portée d'imagination. Ce n'est pas une utopie, il nous faut juste recouvrer notre imagination pour commencer la construction de ce monde différent. J'aimerais non pas dessiner la figure de cet autre monde possible, cette tĂąche est bien trop grande et nous appartient Ă  tous, mais faire rêver le plus possible Ă  une vision diffĂ©rente de la société pour que tous les jeunes d'aujourd'hui se libèrent de la camisole mentale dans laquelle on veut les forcer et ouvrent pour l'humanité l'ère d'un monde plus intelligent et plus beau. N’écoutez surtout pas ceux qui vous disent que votre projet n’est pas rĂ©aliste car les marchĂ©s sanctionneront votre initiative » qui sort de l’ surtout pas ces gardiens de l’ordre qui ne nous proposent rien d’autre que de poursuivre le prĂ©sent, c’est-Ă -dire de ne rien faire. Non, la politique n’est pas morte face Ă  l’économie. Il faut juste que nous daignions nous en ensemble de ce Ă  quoi pourrait ressembler une sociĂ©tĂ© dĂ©mocratique plus serait en grande partie dématérialisée, au sens oĂč les biens culturels auraient quantitativement pris l’ascendant sur les biens pourrait tout de même être riche de ces biens immatériels-les biens spéciaux que sont l’espace physique m2 » maison, la nourriture, l'eau et l'air feraient l'objet d'un régime spécifique différent du marché /qui ne les placerait pas directement sur le ne serait plus une option mais une évidence et une obligation-le recyclage serait une immense industrie-le temps libre bien plus important-les arts, la science et la recherche beaucoup plus valorisés-l'investissement bancaire serait strictement contrĂŽlĂ© par l’État afin de limiter la spĂ©culation-la modification de l’esthĂ©tique des paysages encadrĂ©e juridiquementTout serait un plus lent mais en fait plus temps libre serait, comparĂ© Ă  ce qui se fait aujourd’hui, immense, ce qui engendrerait une transformation favorable de l'être humain vers une sagesse beaucoup plus loisirs seraient intelligents, ce ne seraient plus des distractions passives mais des activités créatives, savoir serait le plus grand de tous les biens, l'information occuperait la place qu'occupe la richesse matérielle aujourd' du souci de ne plus pouvoir se loger ou de ne plus avoir à manger le lendemain, les hommes acquerraient une nouvelle stature, ceux-ci continueraient de se dĂ©velopper et de s’enrichir car le dĂ©veloppement personnel et l’enrichissement Ă©conomique tendraient de plus en plus Ă  se confondre au sein d’une Ă©conomie de plus en plus dĂ©matĂ©rialisĂ©e oĂč les biens de consommations auraient une forte valeur ajoutĂ©e intellectuelle et devraient nĂ©cessairement s’inscrire dans un schĂ©ma Ă©cologique et humain prĂ©cis ne pas polluer et ĂȘtre produits dans de bonnes conditions pour les hommes.La nature aurait retrouvé une place centrale, y compris dans nos villes. Le faire » serait relégué aux oubliettes de l'histoire, une étrange facétie d'ancêtres qui auraient failli nous perdre et qu'avec le recul on regardera avec un sourire, comme une curieuse période où les hommes étaient encore croyants, une sorte d'âge de pierre de la matérialité, les hommes dans l'adolescence intellectuelle/conceptuelle de la technique et inconscients de leur capacité à maîtriser leur destin, remettaient celui-ci au Dieu croissance. Oui, l'on rira de notre époque dans ce futur oĂč le faire » aura été remplacé par le connaître » plus haute marche de la condition humaine et notre humanité de consommateurs sera remplacée au terme de cette parenthèse matérialiste par une humanité de citoyens acteurs, informĂ©s et fonciĂšre et biens spĂ©ciauxC'est donc un fait notable majeur de cette entrée dans le 21ème siècle que nous vivons une époque où la profusion sans précédent de richesse matérielles n'a pourtant pas conduit à une désaliénation proportionnelle des hommes. Comment se fait-il donc que l'apparente richesse ne soit pas traduite par une plus grande liberté ? Plusieurs raisons sont en cause et une seule n'a pas le monopole de cette situation paradoxale. Tout d'abord l'effort humain est mal dirigé. Pour une grande partie, il est en fait gaspillé et pire encore, il est dirigé à saboter la planète. Il est important pour toute politique responsable d'avoir une morale quoiqu'en disent les philosophes tĂ©lĂ©visuels de tous bords. Que signifie pour une politique posséder une morale ? C'est identifier sur une échelle de valeurs, les entreprises, les biens, plus ou moins important pour les hommes. Fixer une Ă©chelle des prioritĂ©s, c’est prĂ©cisĂ©ment faire de la politique. Ce que ne font plus nos dirigeants, consommateurs et serviteurs d’une soupe idĂ©ologique capitaliste prĂŽnant le laisser-faire et honnissant le mot morale ».Ainsi, il existe des secteurs clés, en ce qu'ils sont vitaux au sens propre et c'est ce pourquoi ils doivent posséder un statut spécial, non marchand. Ainsi en va-t-il de l'habitat du m2Ainsi en va-t-il des denrées alimentairesAinsi en va-t-i de l'énergieAinsi en va-t-il de grandes lignes de transport et de rabâché est toujours le même le marché, par son dynamisme et son caractère automatique répond le mieux, en termes de vitesse, adaptabilité et diversité, aux besoins, en logements ou en planification en ce domaine aboutirait à des ratages et il vaut mieux laisser le marché réguler l'offre en fonction de la demande. Va pour l'adaptabilité du marché. Et encore, les exemples ayant prouvĂ© la faussetĂ© de ce postulat sont je vois la question d'un regard plus critique encore. Je pense que la majorité des hommes sont logés à condition ».C'est à dire qu'ils encourent le risque permanent d'être expulsés de l'endroit où ils vivent. Ils ont une épée de DamoclĂšs au dessus de leur dans ce chantage continu, il ne peut y avoir la sérénité nécessaire à un véritable épanouissement. C'est peut-être un thème éculé que celui du statut de la propriété foncière mais il ne me semble pas inutile de rappeler à quel point l'immobilier est une question stratégique, au-delà de considérations financières. C’est la diffĂ©rence entre profit » et monopole » qui Ă©chappe au nĂ©ophyte mais qui est pourtant indispensable Ă  une lecture correcte du monde faire simple, on peut possĂ©der beaucoup d’argent, cela ne signifie pas pour autant que l’on se trouve dans une situation de monopole. Cela ne signifie pas non plus que l’on possĂšde une partie physique importante du dit, il y a mille maniĂšres d’ĂȘtre riche. Je peux ĂȘtre milliardaire et vivre dans un 100 mĂštres carrĂ© Ă  Paris et avoir un compte en banque trĂšs garni nous n’abordons pas ici la question de ce que fait la banque avec mon argent. Je peux aussi ĂȘtre milliardaire et possĂ©der des milliers d’appartements Ă  Paris que je loue Ă  des prix Ă©levĂ©s ou prohibitifs. Alors je pĂšse sur le marchĂ©, je profite de mon pouvoir pour monopoliser des biens vitaux et faire monter les prix, je spĂ©cule...Je peux aussi ĂȘtre milliardaire et investir dans une entreprise de recherche mĂ©dicale. Je peux ĂȘtre milliardaire et construire des parcs Ă  thĂšme au goĂ»t douteux, etc.. Mon propos est ici de souligner combien la question de la richesse est plus complexe qu’une simple histoire de y a Ă  mon avis des biens qui doivent faire l’objet d’un rĂ©gime particulier, ce sont les biens vitaux que sont Le logement, l’eau, l’air et la liste bien-sĂ»r peut et doit ĂȘtre rallongĂ©e et inclure Ă  notre Ă©poque moderne, l’énergie, une partie des systĂšmes de transports, les rĂ©seaux de communication de l’information. Il appartient Ă  la sociĂ©tĂ© de se saisir Ă  travers la politique de la question de la propriĂ©tĂ© de ces biens Ă©lĂ©mentaires et de dĂ©cider lesquels et en quelles proportions, doivent ĂȘtre retirĂ©s du rĂ©gime de la propriĂ©tĂ© privĂ©e classique. Je vois dĂ©jĂ  les boucliers se dresser et crier au communisme stalinisme. Ne vous laissez pas intimider. Il n’y a rien dans cette idĂ©e de sortir les biens Ă©lĂ©mentaires Ă  la vie du rĂ©gime marchand classique, qui constituerait une restriction Ă  la libertĂ© d’entreprendre Ă©rigĂ©e au passage en sacro-saint principe sociĂ©tal. C’est au contraire un progrĂšs considĂ©rable pour toute la sociĂ©tĂ© que de consacrer ces principes. Une avancĂ©e que la France, pays riche et organisĂ© se doit Ă  elle-mĂȘme. Une avancĂ©e qui nous fera tous progresser, comme l’ont fait en leur temps les congĂ©s payĂ©s, la semaine de cinq jours, le droit Ă  l’école publique et cette question de la propriĂ©tĂ© du principe que les hommes naissent libre et égaux en droits ».Heureux d'avoir acquis le statut d'hommes libres depuis la Révolutions de 1789, j'aimerais avancer un constat simple tiré de l'expérience des démocraties capitalistes. Personne ne me contestera sur le principe unanimement accepté qui énonce le droit de tous les hommes à la à y regarder de plus près, ce droit essentiel, ce préalable à tous les autres droits, ce princeps sans lequel tout le reste est vacillant, ne semble pas trouver une activation claire dans la technique juridique, dans sa mise en Ɠuvre concrète. Qui a vécu ne serait-ce qu’un temps court dans la rue, sait que le plus fatiguant dans cette affaire, ce n'est pas de ne pas dormir, mais c'est de ne pas avoir de lieu Ă  soi, de nid, ne pas avoir de refuge. Quiconque a connu la rue sait que la vie y est vite éreintante du fait que pour pouvoir se reposer, il faut un lieu où l'on est physiquement protégé, Ă  l’abri, en sĂ©curitĂ© où l'on peut relâcher sa vigilance. En d'autres termes, sans maison qui plus est, si l'on observe la vie animale, c’est un besoin nécessaire et assouvi chez toutes les espĂšces, il est erroné de dire que la vie est possible. Je soutiens que le droit à la vie, au sens le plus littéral, c'est à dire, le droit Ă  la vie biologique n'est pas assuré par le simple fait de ne plus être esclave de quiconque ou ne plus ĂȘtre menacĂ© par les fait, ce n'est même pas la même question. On pourrait mĂȘme se demander avec une pointe d’ironie bien sĂ»r si prisonnier mais logé, le droit à la vie n'est pas mieux respecté que libre et sans possibilitĂ© de au-delà de la malice qui peut sembler se dégager de ce propos, est ici soulevĂ©e une question fondamentale. Je tiens Ă  attirer l’attention sur le fait que le droit à la vie et la liberté ne sont pas exactement sur le même quelque sorte, la liberté sans droit à la vie est comme vidée de sa substance, dévoyée. Or sans logement, la vie biologique est une espèce d'illusion. Si le corollaire du droit à la vie est le logement, alors le logement ne peut en toute logique pas être un bien soumis à la loi du ce principe est pourtant complètement inappliqué sous une foule infinie de prétextes. Tous les prétextes sont faux, tout particulièrement dans un pays riche comme la et véritable raison pour laquelle le droit au logement n'est pas appliqué concrètement et l'habitat retiré du marché économique, au moins en partie, est que cela impliquerait un rééquilibrage de la hiérarchie sociale trop défavorable à la classe des possédants, rentiers et entrepreneurs par l'établissement d'une égalité beaucoup plus forte entre les hommes. L’écologie et le recyclageIl y a une formidable industrie du recyclage à mettre en place. Quand je dis formidable, je ne mâche pas mes cette énorme industrie devrait logiquement en volume représenter la moitié de l'industrie. Cette industrie n'a que des avantages -elle pallie au manque de plus en plus cruel de matières diminue l'extraction toujours polluante pour l'environnement de ces réduit drastiquement les coûts d'approvisionnement en matières premières pour la France. L'objectif raisonnable doit être Ă  moyen terme un recyclage de 100% de tous les objets et ce recyclage à 100% n'est pas possible techniquement, alors cela signifie que des matériaux qui n'auraient pas dû être employés l'ont été. La chaîne de production est donc à revoir. Toute production doit faire l'objet d'un contrôle écologique minutieux lors de ou avant sa diffusion. Car comme le dit très bien Jean-Luc Mélenchon, l'écologique c'est le social. Tout produit doit, sous peine d'impossibilitĂ© d’ĂȘtre produit en sĂ©rie et diffusĂ© sur le marchĂ©, être impérativement conçu de façon à posséder un mode de recyclage. Il doit être mis sur le marché avec son protocole de démontage recyclage. Les entreprises qui recyclent elles-mêmes leur produits ou qui s'en chargent doivent être massivement exonérées d'impôts. De même pour les entreprises qui favorisent la réparation des produits, c'est-à-dire, le long terme. Cette industrie devrait crĂ©er massivement des donne un avantage stratégique conséquent à la France en la rendant moins dĂ©pendante de l’importation de matiĂšres premiĂšres. Elle est le meilleur investissement pour les futures générations, en soulageant l'environnement de sollicitations trop massives. Elle représente la mise en place d'un système productif éthiquement responsable. Si l'on contraint les entreprises à des conditions de production écologiquement respectueuses produits importés + entreprises françaises à l'étranger aussidès lors, le nombre d’entreprises exerçant une activité socialement irresponsable devrait se restreindre de lui-même. Ne devraient subsister que les entreprises socialement utiles et socialement neutres. Rien n'empêche à quelqu'un de faire fortune dans les activités économiques socialement neutres et en toute logique la société a grand intérêt à encourager financièrement les activités économiques socialement utiles par des subventions par exemple. Neutre » signifiant ici conforme Ă  un droit du travail exigeant et Ă  une rĂ©glementation environnementale rien ne s'oppose à l'établissement d'un nouveau capitalisme intelligent tout comme il est possible d'avoir une dictature verte.Mais il est bien Ă©vident que les entreprises, si elles n’y sont pas forcĂ©es par une rĂ©glementation stricte sont peu enclines Ă  faire des choix respectueux de l’environnement et avantageant leurs salariĂ©s si ces choix reprĂ©sentent des coĂ»ts supplĂ©mentaires et diminuent leur profits. Ceci est d’autant plus vrai que les propriĂ©taires ne sont plus connectĂ©s physiquement aux grandes entreprises qui sont souvent possĂ©dĂ©es par de conglomĂ©rats d’actionnaires. Je tiens Ă  insister sur la forte liaison qu'il y a Ă  mon avis entre le respect de normes Ă©cologiques drastiques et l'Ă©tablissement d'une vraie justice exemple, si l'on prend l'Ă©cologie au sĂ©rieux et donc qu'on y inclut l'homme, des conditions de production dangereuses pour la santĂ© humaine ne doivent pas ĂȘtre donc toute l'industrie qui doit ĂȘtre repensĂ©e, rĂ©organisĂ©e, pour que dans la chaĂźne, leprocessus de production soit agrĂ©able aux hommes, et pour qu'en bout de chaĂźne, la production soit respectueuse de notre environnement..Il faut un grand plan de rĂ©amĂ©nagement industriel, c'est toute la sociĂ©tĂ© qui doit ĂȘtre mobilisĂ©e. Probablement les dĂ©tracteurs de la gauche scanderont-ils l'impossibilitĂ© d'un tel l'histoire nous donne raison plusieurs fois, en des circonstances pourtant incomparablement plus dramatiques. L'effort d'aprĂšs-guerre n'a-t-il pas Ă©tĂ© la redirection de l'industrie et l'impulsion de l’État vers des industries alors futuristes ?La transition verte est une vĂ©ritable aubaine, une occasion de se servir d'une dynamique pour rĂ©organiser la production et la rĂ©partition France est bloquĂ©e de ce que les dirigeants politiques qui se sont succĂ©dĂ©s au pouvoir n'ont eu ni le courage, ni l'indĂ©pendance nĂ©cessaire Ă  prendre des dĂ©cisions innovantes qui remettaient en cause des pans importants de l'Ă©conomie française. Ils ont Ă©tĂ© guidĂ© par les intĂ©rĂȘts de nos grandes entreprises qui ne se confondent pas avec l'intĂ©rĂȘt du pays contrairement Ă  ce que l'on veut nous faire croire et par des perspectives Ă  trĂšs court terme poussĂ© Ă  cela par un manque de vision et par une logique Ă©lectoraliste qui les incite Ă  ne rien faire qui puisse froisser l’intĂ©rĂȘt d’entreprises puissantes, de syndicats, d’électeurs, d’électeurs potentiels, d’ordres professionnels, bref Ă  ne rien faire de significatif, Ă  renoncer Ă  la politique en quelque ingĂ©nieurs foisonnent, nos centres de recherche sont Ă©minemment reconnus et bien qu'on se plaigne souvent du manque d'investissement dans divers secteurs de la recherche nous avons une population Ă©duquĂ©e, la matiĂšre grise est Ă  avons une agriculture solide et efficace mais qui est en train de s’épuiser, enfermĂ©e dans un schĂ©ma productiviste issu d’une autre Ă©poque et qu’il faut aider Ă  prendre le tournant Ă©cologique faut organiser la transition progressive vers une agriculture plus durable, un autre type d'agriculture, plus respectueuse de l' mĂȘme, il faut absolument mettre fin au monopole des supermarchĂ©s, casser leur entente sur les prix et rĂ©tablir une valeur juste pour la production le secteur bancaire, il faut lancer une nouvelle politique qui favorise massivement les prĂȘts aux entreprises qui dĂ©cident de faire des efforts dans le respect de l'environnement. Et si le secteur bancaire est trop frileux, l’État doit lui-mĂȘme multiplier les organismes de prĂȘts verts ».Il faut construire massivement du logement et affecter spĂ©cifiquement Ă  cet effet une industrie qui construise des modĂšles de logements intelligents. C'est Ă  dire Ă  pensĂ©s pour une trĂšs longue durĂ©e. Les nouvelles technologies de production d’énergies renouvelables et de recyclage foisonnent panneaux solaires, Ă©olien, eau recyclĂ©e, dĂ©chets organiques compostĂ©s, etc... et il est impĂ©ratif d’en tirer un profit maximal immĂ©diatement pour le plus grand bien de notre environnement et de notre il faut trouver le bĂątiment le plus efficace dans une vision Ă  long terme, c'est toute une industrie Ă  massivement signifie aussi procĂ©der Ă  un rĂ©amĂ©nagement du qu'il existe un projet du grand Paris, il serait peut-ĂȘtre plus judicieux d'amorcer une dĂ©concentration des structures et du pouvoir de la capitale vers la faut cesser le tout automobile et rĂ©quisitionner nos constructeurs s'il le faut pour rĂ©tablir le rail et des formes de transport plus collectives et plus efficaces Ă©nergĂ©tiquement et transition verte passera par un ralentissement de l' agitation Ă©conomique » mais par une plus grande efficacitĂ© rĂ©elle, c'est-Ă -dire prenant en compte le coĂ»t environnemental et humain en plus du coĂ»t faut rĂ©ussir Ă  moyen terme Ă  mettre fin au culte de l' contre faire, connaissance contre consommationÀ propos de la rechercheIl faut dĂ©velopper de grands projets spatiaux pour 1 prouver l'intĂ©rĂȘt de la recherche, la supĂ©rioritĂ© du savoir sur la consommation. Dans cesens, la science impulsĂ©e par l’État doit donner l' Symboliquement, comme un gage que la transition verte et le ralentissement Ă©conomiquene signifie pas tourner le dos Ă  la modernitĂ© mais bien au contraire l'embrasser avec nos contradicteurs se feront un devoir de se lancer dans ce mensonge selon lequel toute rĂ©glementation stricte Ă©quivaut Ă  une rĂ©gression de la France, un recul face Ă  la modernitĂ© et que sais-je encore. Alors que c’est exactement l’inverse, c’est une occasion unique pour nous de montrer l’exemple, d’ĂȘtre les pionniers d’un nouveau modĂšle Ă©conomique et social plus moderne dĂ©passant le conflit du capitalisme avec l’homme et la nature. C’est l’occasion pour nous de montrer une nouvelle faut investir massivement dans la recherche mĂ©dicale, et la santĂ©, pilier indispensable d'une vie de qualitĂ© pour doit montrer l'exemple. Comment ?L’État doit favoriser l'Ă©ducation en grand la possibilitĂ© d’étudier toute la vie durant, l’usage massif des nouvelles technologies de la communication pour la diffusion de tous les savoirs. France Culture en est un brillant exemple. Il faut favoriser la multiplication de structures et lieux d'Ă©changes et de transmission des doit lĂ  aussi montrer l'exemple en crĂ©ant de nouveaux lieux, grands, beaux, modernes, avant-gardistes, publics, de culture et de savoir, de rĂ©union et rencontre comme le Centre Pompidou en est un bon exemple Ă  doit encourager la transmission d'une culture scientifique, trop cantonnĂ©e Ă  un public de spĂ©cialistes et pourtant aujourd'hui indispensable Ă  comprendre le monde contemporain dans ses enjeux Ă©conomiques, politiques et environnementaux, tous traversĂ©s par les transformations technologiques rapides. Un peuple averti est le meilleur garant d'une dĂ©mocratie recherche appartient aux français et ils doivent y ĂȘtre partie prenante en tant que tĂ©moins afin d’ĂȘtre au fait des enjeux modernes de sociĂ©tĂ© et pouvoir le cas Ă©chĂ©ant, Ă  travers le pouvoir politique encourager certains secteurs ou en restreindre d’ Ă©conomie en voie de dĂ©matĂ©rialisationC'est le thĂšme de la dĂ©matĂ©rialisation de l'Ă©conomie ou comment nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă Ă©voluer vers une Ă©conomie immatĂ©rielle c'est particuliĂšrement vrai en ce qui concerne les loisirs. Les avantages sont Ă©cologiques, face Ă  une population mondiale croissante, les ressources sont de plus en plus sollicitĂ©es et prĂ©parer un avenir stable serait plus facile avec une industrie de la connaissance plutĂŽt qu'une industrie des faut informer et faire comprendre aux membres de la sociĂ©tĂ© qu'un mode de vie Ă  l'amĂ©ricaine pour tous n'est ni possible, ni plus, une Ă©conomie dĂ©matĂ©rialisĂ©e au maximum est la plus compatible avec une Ă©galitĂ© sociale deux grands axes doivent donc ĂȘtre 1 le recyclage total2 un encouragement massif Ă  la dĂ©matĂ©rialisation de l'Ă©conomieLe contre-exemple de l'automobileChasser les automobile des villes, c'est rendre un espace vital de communication et d'Ă©change Ă  tous, en particulier aux chasser de la citĂ© le stress terrible du vacarme permanent, c'est rendre les villes plus belles et l'air plus amĂ©liorer la santĂ© de tous du fait de la qualitĂ© de l'air et de la diminution du stress. C'est rendre la vie de tous bien plus soutenue par un marketing tonitruant s'est appropriĂ©e une grande part de l'imaginaire des hommes. Pourtant, bien qu'en elle-mĂȘme un instrument gĂ©nial, elle est le plus antidĂ©mocratique des outils et aussi l'un des plus l'ont trĂšs justement fait remarquer certains philosophes techno-sceptiques, elle est devenue un style de vie plus qu'un outil et maintes portions – parfois Ă©normes – du territoire sont amĂ©nagĂ©es autour de l' pollue excessivement. Les scandales rĂ©cents touchant Volkswagen et d’autres constructeurs et probablement Renault quant Ă  la fraude au contrĂŽle pollution ne font que confirmer ce constat. Elle n'est pas efficace en termes de rapport Ă©nergie dĂ©pensĂ©e / personnes que nous donne-t-elle en Ă©change de tous ces inconvĂ©nients ? Un sentiment de libertĂ© !Il est temps pour les hommes de grandir et de se rendre compte que ce magnifique engin de leur invention est en train de saboter la planĂšte autant que la vie des hommes dans n'est pas exagĂ©rĂ© d'affirmer que les grandes villes d'oĂč l'automobile est bannie sont transfigurĂ©es. L'espace occupĂ© par les autos est rendu aux hommes qui n'Ă©tant plus cloĂźtrĂ©s Ă  un Ă©troit trottoir rĂ©cupĂšrent la libertĂ© pour leur corps, l'amplitude de mouvement, se libĂšrent l'esprit du stress du bruit des moteurs et du danger permanent que les autos reprĂ©sentent en une ville rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©e, revivifiĂ©e, reposĂ©e, oĂč les hommes peuvent se rapprocher, la sociĂ©tĂ© faire corps, l'espace public leur Ă©tant rendu, ils ont Ă  nouveau la possibilitĂ© de se connaĂźtre et donc de mieux se faut donc rĂ©duire l'automobile Ă  son usage le plus lĂ©ger. DĂ©velopper de systĂšmes d'auto publiques comme le vĂ©lib, des vĂ©hicules propres et bannir les voitures des villes. Il faut rĂ©tablir un maillage serrĂ© de voies ferrĂ©es comme au Japon, qui doivent desservir tout le territoire et dĂ©velopper une nouvelle gĂ©nĂ©ration de trains moins rapides mais beaucoup plus maillage serrĂ©, propre, ponctuel, peux onĂ©reux, doivent ĂȘtre les enjeux d'un service public de transports et non pas la vitesse et la vente Ă  l'international. Tout doit ĂȘtre ralenti y compris le fret mais doit ĂȘtre d'une efficacitĂ© rĂ©elle sans impact Ă©cologique et Ă  un coĂ»t d'utilisation technologies de l'information poursuivront leur essor. L'accĂšs de tous Ă  internet toujoursgratuit doit ĂȘtre rapiditĂ© de l'information venant, jointe Ă  un rail efficace, Ă©tablir un nouveau systĂšme logistique de la France plus efficace qu' recherche et dĂ©veloppement doivent ĂȘtre poussĂ©s Ă  fond par l’État mais dans des domaines utiles et l'Ă©nergie, le savoir-faire, le hommes, les matĂ©riaux, l'argent, consacrĂ©s Ă  la construction de voitures Ă©taient allouĂ©s Ă  un plan habitat en France, notre pays deviendrait vite celui oĂč l'on est logĂ© de la maniĂšre la plus donc un gĂąchis de consacrer toutes ces ressources Ă  un objet qui peu ou prou nuit au pays, Ă  la sociĂ©tĂ© et Ă  la modĂšle vente-achatC'est l’esprit attristĂ© que chaque jour je me lĂšve pour affronter un sociĂ©tĂ© des objets. Je crois que le mal est Ă  ce point ancrĂ© en nous qu'il est pour tous une normalitĂ© immuable, plus encore, une vĂ©ritĂ© naturelle, un Ă©tat des choses, le cours de la vie, la nature des que soit la maniĂšre dont on caractĂ©rise notre sociĂ©tĂ©, l'absolue prĂ©valence d'un modĂšle vente-achat est perçue comme un donnĂ© primordial, comme un principe je suis persuadĂ© de ce que ce principe n'en est pas un et que cette normalitĂ© est une partir d'une assertion toute simple que m'a faite une amie chinoise vivant en ceux qui ont les idĂ©es assez simplistes pour vouloir entrer en compĂ©tition Ă©conomique avec l'Asie, Ă  ceux qui font tant cas de la nouvelle puissance Ă©conomique chinoise pour plonger la France Ă  corps perdu dans le jeu de la compĂ©tition Ă©conomique internationale sans rĂšgles, je vous rĂ©pĂ©terai cette simple phrase qu'elle m'a dite L' Europe est riche, vous ĂȘtes riches. Car le vrai luxe, c'est la beautĂ©. »Le vrai luxe c'est aussi la dĂ©mocratie serais-je tentĂ© d' ce jeu idiot qui consiste Ă  mesurer la richesse Ă  l'aune de la seule donnĂ©e monĂ©taire, vousmenacez de dĂ©truire le trĂ©sor de civilisation que reprĂ©sente l'Europe et que tout le monde nous notre richesse en France, c'est la beautĂ© de notre patrimoine, la qualitĂ© de notre nourriture, la vivacitĂ© de notre dĂ©mocratie, la beautĂ© de nos villes et campagnes, le respect relatif encore pour combien de temps de l'environnement, le talent de nos industries et j'en passe...Notre richesse n'est pas combien de Peugeots nous vendons en Chine mais le fait que Peugeot puisse produire des voitures de haute qualitĂ© au sein d'un pays dĂ©mocratique, riche culturellement, beau et relativement richesse n'est pas que Dassault rĂ©ussisse Ă  vendre ses rafales aux dictatures arabes niqu'Airbus fasse la nique Ă  Boeing mais bien que nous soyons en mesure de produire cestechnologies de pointe au service du plus grand nombre dans le respect de la France est riche, sans doute des ajustements sont-ils nĂ©cessaires, mais c'est en jouant le jeu Ă  court terme du marchĂ© qui bĂ©nĂ©ficie aux actionnaires et non pas Ă  la France que vous ĂȘtes en train de couler le pays par en haut et par en biens essentiels et le temps de la connaissancePosez-vous la question. Quels sont les objets dont nous avons besoin pour une vie agrĂ©able ? Évidemment, c’est une question bien subjective. Mais, pas complĂštement aprĂšs tout, les hommes ne partagent-ils pas tous leur humaine condition ?D’aucuns me jugeront trop radical, mais j’aime penser qu’en ces temps d’urgence, une certaine radicalitĂ© ou vigueur dans les principes est de bon je pense que les arbres plusieurs fois centenaires sont les objets les plus beaux que le monde nous ait donnĂ©. À cĂŽtĂ© de cela la quantitĂ© de camelote que nous produisons est qu'une Ă©conomie soit instituĂ©e autour de biens souvent inutiles, moches ou nĂ©fastes est Ă proprement parler de pays dits en dĂ©veloppement » sont pauvres, mais non pas tant de raison Ă©conomique, mais de penser qu'ils le sont, pauvres de ne juger leur richesse qu’en points de PIB en accord avec l’orthodoxie Ă©conomique qui a autour de moi, dans des endroits modestes, que ce soit au Mexique ou en Chine, j’ai vu pourtant de la richesse mĂȘme si elle ne portait pas la marque de fabrique de l'occident. Ni Mercedes ou Audi, ni Louis Vuitton ni restaurants chics dans un village mexicain. Pourtant, il me semblait que matĂ©riellement, tout Ă©tait lĂ  ou presque, et parfois il m’est mĂȘme arrivĂ© de me demander dans ces endroits de si peu mais dignes si finalement lĂ , l'essentiel n'avait pas encore Ă©tĂ© endommagĂ© par le superflu. Seuls manquaient la conscience de cette richesse et les connaissances permettant d'en tirer profit troisiĂšme millĂ©naire sera celui de la connaissance ou la Terre mourra de nos excĂšs matĂ©riels.. Ceux de nos dirigeants qui n’ont pas intĂ©grĂ© cette donnĂ©e fondamentale appartiennent au il faut voter Jean-Luc MĂ©lenchonAvant mĂȘme d'entrer dans un questionnement de la croissance comme modĂšle, il est passionnant de prendre conscience du fait qu'une transition Ă©cologique rĂ©elle constituerait pour toute sociĂ©tĂ© moderne un dĂ©fi d'envergure exaltant, mobilisant toutes les ressources humaines de la sociĂ©tĂ© et tous les transition Ă©cologique rĂ©elle, mĂȘme selon le modĂšle Ă  mon avis dĂ©suet de la croissance Ă©conomique, constituerait un vecteur si puissant de changement qu'il pourrait tirer cette croissance vers le haut au moins autant que ne l'a permis la reconstruction dans l' qui bloque le plus cette transition c'est la mise en cause de beaucoup d'intĂ©rĂȘts solidement instituĂ©s depuis longtemps. RĂ©affecter les forces de production ne se fait pas sans casse et sans froisser de puissantes entreprises qui ont intĂ©rĂȘt Ă  ce que les choses restent en l’ cela je ne crois pas en l'homme d’un soi-disant consensus qui serait en fait un garant de la permanence de l’ordre Ă©tabli, mais je crois en la nĂ©cessitĂ© d'un homme dĂ©cidĂ© qui impose les choix d'intĂ©rĂȘts publics face aux entreprises et intĂ©rĂȘts privĂ©s. Mr MĂ©lenchon est le plus indiquĂ© parmi les candidats en lice pour tenir ce rĂŽle. Car le moment venu de faire de choix importants il ne faudra pas flĂ©chir face aux intĂ©rĂȘts Ă©conomiques installĂ©s et leur armada de lobbyistes, de conseillers et d’avocats qui s'opposeront au changement ou feront tout – y compris des campagnes de dĂ©sinformation – pour convaincre que leurs intĂ©rĂȘts sont ceux des faut des projets ambitieux pour la France et non pas se figer dans des visions Ă  court terme qui ne correspondent qu'Ă  une politique du porte-monnaie et qui remettent Ă  plus tard les grands dĂ©fis qui se prĂ©sentent dĂšs Ă  l’exemple du chantier l'Ă©nergie nuclĂ©aire par des Ă©nergie renouvelable sans plus attendre est l’un de ses dĂ©fis qui nous attendent et devant lequel la plupart des candidats atermoient sortir progressivement du nuclĂ©aire, plusieurs actions conjointes vont ĂȘtre il est plus qu'intelligent, il est moral, il est de conscience collective et environnementale d'envisager une rĂ©duction de la consommation d' faut faire une chasse au gaspillage, une quĂȘte de la meilleure efficacitĂ© habitats doivent ĂȘtre rĂ©novĂ©s en ce appareils Ă©lectromĂ©nagers fortement consommateurs doivent ĂȘtre bannis ou facture Ă©nergĂ©tique de chaque foyer doit ĂȘtre minimale, c'est Ă  dire que la consommation d'Ă©lectricitĂ© pour se chauffer, chauffer l'eau, s'Ă©clairer et faire tourner les frigos doit ĂȘtre amenĂ©e au plus bas niveau mĂȘme chaque entreprise doit procĂ©der Ă  un rĂ©examen de ses processus de production ou defonctionnement Ă  l'aide de cabinets spĂ©cialisĂ©s ou de dĂ©tachĂ©s du ministĂšre et ĂȘtre aidĂ©e dans une rĂ©organisation en consĂ©quence pour optimiser son empreinte entreprises hors ville disposant de surface toits ou terrains doivent immĂ©diatement adopter le petites communes et agglomĂ©rations moyennes qui ne connaissent pas le problĂšmes d'entassement des grandes villes doivent faire l'objet pour chacune d'un plan stratĂ©gie Ă©nergĂ©tique» qui doit tirer le plus possible vers une indĂ©pendance Ă©nergĂ©tique non polluante et les faire dĂ©pendre de moins en moins des grosses centrales en ramenant ces problĂ©matiques au niveau local qu'on rĂ©soudra les problĂšmes. En traitant les questions de l'Ă©nergie et de l'eau Ă  l'Ă©chelon le plus bas. Et non pas en construisant d'immenses chemin est long avant que nous n'atteignons ce stade d’une sociĂ©tĂ© plus Ă©quitable et Ă©cologiquement responsable, le respect de ce que Jean-Luc MĂ©lenchon appelle la rĂšgle verte. Mais loin de devoir nous effrayer, c’est en ce qu’il est ambitieux que ce projet est une chance pour la France. Car ce n'est pas une tĂąche impossible, notre intelligence collective surpasse largement le dĂ©fi reprĂ©sentĂ© par ce une question opĂ©rationnelle, c’est une question de volontĂ© demande aux français de s’arrĂȘter un instant, et d’observer autour d’eux en les pays sont confrontĂ©s aux mĂȘmes problĂšmes. Parce que tous bĂ©nĂ©ficiant d’une Ă©conomie plutĂŽt efficace, d’élections libres et d’une relative stabilitĂ© nous ne sommes pas moins confrontĂ©s au mĂȘme monde en transition avec nos dĂ©mocraties un peu usĂ©es qu’il nous faut rĂ©nover. Alors, regardez un instant le panorama europĂ©en et regardez aussi un instant l’histoire. Vous comprendrez alors qu’il existe parfois des chances historiques de provoquer un changement salutaire, de provoquer un changement pour un avenir meilleur. Il n’y a pas en Europe aujourd’hui, un seul leader politique de la qualitĂ© de Jean-Luc MĂ©lenchon, aussi prĂ©parĂ© et en mesure de remporter des Ă©lections nationales et qui porte un projet innovant, ambitieux pour son pays et pour le opportunitĂ©s d’amĂ©liorer la sociĂ©tĂ© sont peu nombreuses et il faut savoir les saisir. J’espĂšre que les Ă©lecteurs français comprendront qu’avec la rĂ©volution citoyenne proposĂ©e par les insoumis, ils ont l’opportunitĂ© de marquer le cours de l’histoire d’une façon positive et mettre la France sur les rails d’un futur plein d’espoir quand des partis d’un racisme anachronique ou d’un conservatisme Ă©conomique stupide proposent rien de moins qu’une guerre civile ou de continuer Ă  foncer droit dans le jugement Ă©conomique altĂ©rĂ© d'une caste d'Ă©conomistes servilesComment va-t-on intĂ©grer cette nouvelle donnĂ©e Ă  une Ă©conomie refondĂ©e ?Comment va-t-on intelligemment imposer l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral sur les nombreux intĂ©rĂȘts privĂ©sactuellement en place ? Comment prouver contre nos dĂ©tracteurs, que la primautĂ© de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral n'Ă©quivaut ni au communisme, ni Ă  un État autoritaire ?Je suis bien entendu convaincu que non, mais nos dĂ©tracteurs se feront une joie d'arguer malhonnĂȘtement du fantĂŽme autoritaire pour, sous couvert de libertĂ©, faire rĂ©gner leurs intĂ©rĂȘts particuliers au dĂ©triment de la imposer une rĂ©glementation drastique Ă  la production industrielle, imposer des conditions sociales et Ă©cologiques sĂ©vĂšres Ă  la distribution de biens et services, n'est pas dictature messieurs les candidats de droite, c'est responsabilitĂ© et souci des en Europe n'est pas moribonde, elle ne l'a jamais Ă©tĂ©. Elle l'est selon les critĂšres de nos chers financiers et analystes Ă©conomiques incultes et assez Ă©troits d’esprits, pour ne connaĂźtre ni l'Ă©tymologie du mot Ă©conomie, ni le sens vĂ©ritable de cette l'Europe seule a beaucoup de pouvoir, et mĂȘme la France !Je soutiens que la Chine a bien plus besoin de l'Europe que l'Europe n'a besoin d' nos petits Ă©conomistes en herbe abreuvĂ©s au lait tournĂ© d’écoles de commerce et d’écoles du pouvoir oĂč l’on enseigne la doxa financiarisĂ©e de l’économie sont assez ignorants pour ingurgiter toutes ces niaiseries nĂ©olibĂ©rales et en arriver Ă  un point tel de lavage de cerveau qu'ils son incapables d'observer lucidement la rĂ©alitĂ© physique de l’Europe, la rĂ©alitĂ© physique de leur France est riche car elle a une Ă©conomie bien Ă©quilibrĂ©e. Évidemment qu'il y manque un peu d'industrie vu que nos dirigeants Ă©conomiques ont eu l'intelligence d'aller produire dans n'importe quelles conditions en Asie et au bonne nouvelle, pas tant que ça en ce dont nous avons besoin aujourd'hui c'est de moins moins moins, moins et mieux !Oui, moins, l'Ă©conomie grĂące aux connaissances toujours accrues est en passe de se dĂ©matĂ©rialiser. Nous sommes Ă  l'aube d'une nouvelle Ăšre productive oĂč le terme mĂȘme de production sera probablement changĂ©. Il nous faut passer d'une Ă©conomie de la production Ă  une Ă©conomie de la connaissance et de la production agriculture est puissante, il faut amĂ©liorer sa qualitĂ© et par un remodelage, aller vers une agriculture la plus biologique possible. GrĂące Ă  la recherche publique, amĂ©liorons toujours la qualitĂ© et recherchons le meilleur Ă©quilibre entre production agricole, ressources en terre et disponibilitĂ© en eau faut aussi diminuer les viandes, c'est un acte militant et gĂ©nĂ©reux. Il faut relocaliser la production de vĂ©hicules de transports propres bus, trains, tramways, vĂ©los et voitures Ă©lectriques, etc...Il faut lancer en France par la recherche publique et l'entreprise publique s'il le faut un pland'Ă©nergies renouvelables solaire, thermique, Ă©olien...Il faut un centre de recherche sur l’habitat combinant architecture et science, en charge de l'habitat durable et Ă©co-efficient, seul chemin viable pour le faut un ministĂšre de l'Ă©valuation Ă©cologique de l' faut un centre de recherche national consĂ©quent ainsi qu'un ministĂšre de la nouvelle industrie du 20 ans tout au plus, nous aurions remis la France sur le chemin de l'avenir et fait de notre pays une Nation forte et responsable, digne des pages les plus glorieuses de son d'un monde empli de consommables de mauvaise facture, oĂč les espaces publics disparus le cĂšdent Ă  des ribambelles de commerces plus ou moins inutiles ?Un monde oĂč les jardins verdoyants oĂč nos enfants pourraient courir et crier sont remplacĂ©s par le laid bitume des routes polluĂ©es par les voitures dont de surcroĂźt, les enfants doivent se mĂ©fier, dĂ©sormais cantonnĂ©s Ă  l'Ă©troit espace privĂ© des appartements parentaux ?Veut-on continuer Ă  lutter pour survivre, Ă  prendre le premier travail idiot et mĂȘme nĂ©faste que la sociĂ©tĂ© de consommation nous offre pour Ă  peine subvenir Ă  nos besoins ?Ou veut-on travailler tous, moins, et effectuer des tĂąches gratifiantes de trĂšs bonne qualitĂ© ? Ceci pour participer Ă  une sociĂ©tĂ© qui nous offre de belles conditions de vie, matĂ©rielles et intellectuelles ?L’Europe est sans doute le territoire le plus diplĂŽmĂ© au monde, le mieux formĂ©, l'endroit Ă  la diversitĂ© la plus prononcĂ©e. Le climat y est ignorants de dirigeants Ă©conomiques de tout poil ne cessent de rĂ©pĂ©ter que nous ne sommes pas compĂ©titifs car ils n'ont pour seul horizon que le coĂ»t monĂ©taire du produit nous ne serons jamais compĂ©titifs avec les pays oĂč ne sont ni respectĂ©s les employĂ©s nil'environnement pour produire un ordinateur Ă  bas revanche, si nous nous mettions en tĂȘte de produire de la qualitĂ©, verte et socialement juste, et si les patrons n'Ă©tranglaient pas les salariĂ©s qui pourraient alors se payer ces produits, alors nous n'aurions pas notre pareille pour produire ces biens de sĂ»r, toute l'Ă©conomie aurait une allure bien distincte de celle d'aujourd'hui. Ce ne serait plus la profusion ou la quantitĂ© qui seraient de mise mais bien la qualitĂ©, l'intelligence et la durabilitĂ© qui esprit du faire » ou le rendement monĂ©taire pour seul butIl faut absolument comprendre que nous sommes prisonniers d'un systĂšme productif qui a colonisĂ© jusqu'aux trĂ©fonds de notre intellect. Et que de nous-mĂȘmes, aidĂ©s en cela par une publicitĂ© permanente et omniprĂ©sente, nous nous rendons esclaves d'un monde d'objets, d'un monde de consommables technologie ne travaille plus pour nous mais nous travaillons pour une fausse technologie, un univers de gadgets bas de gamme, inutiles et pire encore, consacrons la majeure partie de notre prĂ©cieux temps dĂ©sormais organisĂ© totalement par les entreprises, Ă  concevoir, produire plus trop en France, stocker et vendre des objets qui ne servent Ă  sommes si Ă©tourdis par la litanie publicitaire que nous nous Ă©chinons nuit et jour Ă  cette cause, Ă  la consĂ©cration de cette matĂ©rialitĂ© immonde » car destructrice du monde, la considĂ©rant comme une normalitĂ© ou mĂȘme un aboutissement de il suffit qu'un modĂšle passe une gĂ©nĂ©ration entre 20 et 30 ans pour qu'il s'impose comme rĂ©alitĂ© et donc comme mieux nous travaillerions, mieux nous serions organisĂ©s, moins nous aurions Ă  travailler. Or c'est exactement l'inverse qui se produit et nous avons Ă  travailler toujours plus pour subvenir Ă  nos besoins dans une sociĂ©tĂ© oĂč le coĂ»t de la vie continue d’augmenter, ce qui est la preuve mĂȘme que l'effort est organisĂ© de façon mal comme nous le faisons, c'est Ă©gal Ă  une population, qui selon la fameuse mĂ©taphore de l’üle, pour se chauffer, couperait petit Ă  petit tous les arbres de l'Ăźle qu'elle habite afin de faire du feu chaque soir au lieu de construire une maison. Car couper des arbres est plus facile, c'est un gain ou existerAllez, osons ! Le lecteur n’a probablement plus de doute quant Ă  mon soutien de la candidature de Jean-Luc MĂ©lenchon pour les insoumis. Alors je peux parler de sixiĂšme l'espace public est un des devoirs de la sixiĂšme RĂ©publique de la rue piĂ©tonne, des quartiers piĂ©tons, de nouveaux centres culturels grands et ambitieux, une politique favorisant des coĂ»ts bas pour les cafĂ©s et restaurants, lieux oĂč par la convivialitĂ© les gens se mĂ©langent et se fonde un faut rĂ©trĂ©cir la matĂ©rialitĂ© polluante pour que l'esprit puisse s'Ă©largir, s' paix intĂ©rieure viendra d'une qualitĂ© de vie amĂ©liorĂ©e et des Ă©nergies crĂ©atrices s'en trouveront temps libre, bien plus ample, trouvera une utilisation utile au bien public comme l'embellissement de l'architecture, le soin Ă  la nature, les arts ou la me traitera d'idĂ©aliste mais que faire si l'on n'a pas d'ambition idĂ©ale pour sa sociĂ©tĂ© ?Il faut parier sur le talent des hommes, miser sur l'intelligence collective et c'est pourquoi il faut Ă  tout prix sortir la dĂ©mocratie du jeu des lobbyistes et des contre-pouvoirs Ă©conomiques pour que l'intelligence collective, meilleur fruit des rĂ©publiques, puisse Ă  nouveau poindre et prendre des dĂ©cisions bonnes pour le collectif. Jean-Luc MĂ©lenchon a raison, dĂ©gagez les tous et Ă©tablissons les nouvelles rĂšgles d’une dĂ©mocratie plus avancĂ©e oĂč par exemple comme il est proposĂ©, les citoyens pourront rĂ©voquer leurs sommes peut-ĂȘtre bien plus prĂšs que nous le croyons d'une sociĂ©tĂ© libĂ©rĂ©e de la paralysie et sur le chemin d'une transition Ă©cologique et sociale. Mais nous sommes aveuglĂ©s par le brouillard pseudo-Ă©conomique de nos dirigeants dans lequel, j’en ai bien peur, ils sont eux-mĂȘmes citoyen consommateur dĂ©passĂ©En Chine, je vois ces shopping malls gĂ©ants, ces speakers dĂ©versant nuit et jour des messages publicitaires, ces enseignes lumineuses, ces boutiques sur-Ă©clairĂ©es, les musiques d'ambiance permanentes, les Ă©crans partout allumĂ©s et j'en viens Ă  me demander si je suis le seul Ă  dĂ©sirer ce monde dont je rĂȘve. Le monde entier ne prĂ©fĂšre-t-il pas s'adonner Ă  la dĂ©pense sans compter de toute l'Ă©nergie matĂ©rielle qu'il est possible de capter, utiliser ou crĂ©er ?Serais-je le seul Ă  rĂȘver d'un monde beau, dĂ©matĂ©rialisĂ© ou harmonie entre homme, nature et technologie serait rĂ©alisĂ©e ? La Chine, trĂšs pauvre il y a encore peu de temps s’adonne dĂ©sormais aux joies de la consommation. Pourtant des vagues de protestation Ă©clatent partout dans l’usine du monde. Et PĂ©kin tente tant bien que mal d’étouffer ces rĂ©voltes de travailleurs citoyens qui sont en premiĂšre ligne des ravages du productivisme stĂ©rile de la sociĂ©tĂ© de consommation. Pollution brutale de l’air et des nappes phrĂ©atiques. ImpossibilitĂ© pour les enfants de sortir du fait du smog, aliments impropres Ă  la consommation. Sans mĂȘme parler des conditions de travail esclavagistes qui rappellent l’Europe du 19Ăšme siĂšcle. Nous sommes des citoyens du monde. Et le sort de tous les citoyens du monde nous importe. C’est cela une des grandes diffĂ©rences entre notre projet et celui des autres formations politiques. Notre projet est pour la France et pour les français, mais notre projet est aussi pour le monde et les femmes et hommes de ce monde. Nous ne voulons ni l’exploitation du genre humain, ni la destruction des Ă©cosystĂšmes, ni en France, ni ailleurs dans le devons reprendre toute notre place en tant que citoyens et cesser d’ĂȘtre uniquement des consommateurs. Ceci est de notre responsabilitĂ©. Le systĂšme aujourd'hui en place nous maintient dans une enfance, dans une illusion Ă©conomique, en tenant soigneusement Ă  distance de nous les vĂ©ritĂ©s qui dĂ©rangent. Nous avons beau savoir grĂące aux mĂ©dias, c’est loin, c’est donc abstrait, voire inexistant. Il est facile de fermer les nous voulons ouvrir grand les yeux ici, pour la France et pour le monde car nous aspirons Ă  une sociĂ©tĂ© meilleure en France et ne souhaitons pas que notre style de vie suppose une armĂ©e d’ouvriers exploitĂ©s en Asie et la destruction du continent Africain par le pillage de ses matiĂšres premiĂšres au travers la corruption de ses Ă©lites et l’état de guerre permanente qui dĂ©coule de cette instabilitĂ© est bien Ă©vident que tout le monde en France porterait un regard diffĂ©rent sur la mode, voire mĂȘme, la condamnerait, si les usines textiles Ă©taient en France et non pas en Asie et si dans les mĂȘmes conditions, un des membres de la famille s'y tuait au une infantilisation de notre sociĂ©tĂ© – c'est Ă  dire un dĂ©placement hors de la vue des moyens de production, en l'occurrence en Asie, et donc de l'horreur – a permis de rendre acceptable aux yeux du public occidental – tout de mĂȘme bercĂ© d'idĂ©aux dĂ©mocratiques – le dĂ©ferlement de biens de consommation bon marchĂ© produits dans des conditions seconde fois, le citoyen occidental est plongĂ© dans l'enfance quand, du fait du mĂȘme facteur d'Ă©loignement, il est coupĂ© des consĂ©quences Ă©cologiques dĂ©lĂ©tĂšres partout dans le monde provoquĂ©es par son mode de encore qu'un changement politique et Ă©conomique que je prĂŽne, c'est Ă  un profond examen de conscience que j'invite tant que citoyen français en provoquant la rĂ©volution citoyenne, vous pouvez faire un changement pour la France et pour le vous laissez pas berner par ceux qui agitent l'Ă©pouvantail d'une prĂ©tendue rĂ©gression de notre sociĂ©tĂ© si l'on se mettait Ă  combattre la consommation tous comme souvent dans l’histoire, rĂšgle dĂ©cidĂ©e collectivement vaut fin de l’arbitraire du prince, de la sociĂ©tĂ© fĂ©odale. La fin de l’usure, l’obligation d’un salaire minimum, l’obligation d’aller Ă  l’école, l’interdiction du travail des enfants, l’interdiction de faire travailler plus d’un temps encore la rĂšgle nous affranchira de maints il sera interdit de polluer, quand les salaires seront augmentĂ©s, quand des Ă©lus qui n’en ont cure de leurs Ă©lecteurs pourront ĂȘtre rĂ©voquĂ©s, quand ces mesures seront effectives, nous auront fait le premier pas vers un progrĂšs significatif de notre avons un pouvoir en tant que consommateurs que nous n'exerçons est vrai qu'il est difficile de l'exercer tant la sociĂ©tĂ© est bouclĂ©e autour de l'acte de consommation et tant l'enclosure est ces conditions impĂ©rieuses, acheter plus qu'acquĂ©rir un objet s'apparente souvent Ă  un acte vital d'existence, car il n'y a souvent rien d'autre Ă  faire ; nature et espaces publics, temps libre Ă©tant rĂ©duits Ă  la portion pour bien des secteurs non vitaux, nous,les particuliers acheteurs », dictons absolument les rĂšgles. Nous sommes des faiseurs de s'agisse de textile, d'automobile, d'amĂ©nagement intĂ©rieur ou de bien d’autres secteurs, et dans les pays riches oĂč l'offre est variĂ©e, y compris dans le secteur de l'alimentation, Nous pourrions Ă  l'Ă©chelle nationale et bien sĂ»r mondiale – Ă  condition de ne pas battre en retraite devant l'argument malhonnĂȘte de la dĂ©fense nationale de l'emploi – soumettre des entreprises aisĂ©ment. Les français n'ont pas droit de vie ou de mort sur la fnac ou sur h&m, nĂ©anmoins dans les faits ce sont eux qui par leur comportement abrogent ou prorogent l'existence de ces entreprises en nĂ©cessairement pousser jusqu'Ă  son terme cette logique et pousser Ă  mettre la clĂ© sous la porte ces sociĂ©tĂ©s, nous pouvons sans passer par la politique faire pression sur elles pour obtenir d'elles un comportement que nous jugions plus adĂ©quat que ce soit en termes humains ou nous ne le faisons pas, chacun occupĂ© Ă  notre quotidien, chacun courant pour boucler les fins de mois, chacun pris en Ă©tau dans le bonheur consumĂ©riste obligĂ©, chacun se disant, on verra demain », chacun pensant de toute façon rien ne va changer » ou mon action individuelle n’est qu’une goutte insignifiante au milieu d’un ocĂ©an ».Ce que nous ne faisons pas par manque d’organisation et pour mille autres raisons comme consommateurs, faisons-le comme citoyens. Car ici une chance nous est donnĂ©e de reprendre la main par le haut sur l’économie dĂ©bridĂ©e et d’enfin imposer Ă  tous les acteurs de la sociĂ©tĂ© les choix qui en ces temps de crise idĂ©ale et Ă©cologique, s’ voterJe propose une sociĂ©tĂ© essentiellement propose une sociĂ©tĂ© non tournĂ©e vers une idĂ©ologie de une sociĂ©tĂ© tournĂ©e vers une idĂ©ologie de faire pour remplacer le tout-achat ?Que faire pour remplacer le tout-travail ? J’invite le lecteur Ă  lire le brillant essai de Hannah Arendt sur la question du travail La condition de l'homme moderne »On voit Ă  poser ces questions que deux Ă©lĂ©ments centraux de nos sociĂ©tĂ©s contemporaines sont Ă  la croisĂ©e de tous nos destins et en temps de crise, il est de notre devoir de repenser ces deux d'aujourd'hui a besoin de se gaver, de travail et d'achats, tant la sociĂ©tĂ© est qualitativement et spatialement organisĂ©e en ce sens et tant son esprit a Ă©tĂ© sculptĂ© pour ce modĂšle au point qu'il s’en trouve dĂ©sorientĂ© si un de ces deux piliers vient Ă  dĂ©livrer les hommes de cette idĂ©ologie qui prospĂšre depuis les dĂ©buts de la rĂ©volution industrielle ?Il y a bien eu un petit sursaut avec les luddites, ces ouvriers anglais du textile qui se sont rĂ©voltĂ©s contre les machines au dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle, mais bien qu'ayant eu une bonne intuition, ils se trompaient d’ennemi. Mais depuis leur Ă©crasement sĂ©vĂšre par le pouvoir en Angleterre, il n'a pas Ă©tĂ© souvent question de mettre en doute le productivisme, que ce soit du cĂŽtĂ© occidental ou du cĂŽtĂ© cours du 20Ăšme siĂšcle, les termes de l'Ă©quation socio-Ă©conomique ont Ă©tĂ© croissance ne signifie plus dĂ©veloppement du niveau de vie comme durant l' Les technologies ont dĂ©jĂ  atteint le stade oĂč les hommes sont dĂ©livrĂ©s Ă  une hauteur importante des tĂąches nĂ©cessaires Ă  leur se lance dans une analyse socio-Ă©conomique sans tenir compte de ces deux donnĂ©es nouvelles qui changent radicalement la donne, ne peut qu'aboutir Ă  une analyse profondĂ©ment erronĂ©e de la situation ce qu’on nomme des crises Ă©conomiques », n'en sont pas, comment peut exister cette contradiction dans les termes qu'est une crise de surproduction ». Ces crises sont des crises des idĂ©es », des crises politiques ». Elles sont dues Ă  un refus de considĂ©rer l'Ă©quation humaine de maniĂšre rĂ©aliste -population-ressources-technologiesLe plus surprenant c'est que ce sont jusqu'Ă  nos consciences qui ont Ă©tĂ© façonnĂ©es par l'impĂ©ratif productiviste et il semble qu'il soit inconcevable aujourd'hui pour la majeure partie d'entre nous de ne rien faire » au sens Ă©conomique ou sociĂ©tal » du gratuit s’est doublĂ© du soupçon d’inutilitĂ©, du sentiment coupable de ne pas ĂȘtre si une peur d’un vide matĂ©rialiste s'Ă©tait emparĂ©e de nous tous, qui avions Ă©tĂ© gavĂ©s de travail salariĂ© et de veux l'affirmer, cette peur du vide qu'agitent les tenants du productivisme en faisant valoir un argument aussi simple et stupide qu'efficace que que ferait-on ? C'est ridicule » si on ne travaillait pas, cette peur du vide, elle n'a pas lieu d' elle n'a pas lieu d'ĂȘtre car nous ferions plein de choses, d'autant plus que la sociĂ©tĂ© et donc l'espace seraient organisĂ©s autrement. L'enclosure diminuerait notoirement et des liens d'une nature nouvelle se tisseraient. Ne pas faire une activitĂ© liĂ©e Ă  l’argent ne signifie pas ne rien trouver la voie vers un changement qui semble si ambitieux. Tout simplement en commençant, petit Ă  petit. En commençant par Ă©tablir une lĂ©gislation Ă©cologique et humaine beaucoup plus stricte et des politiques dignes de ce nom ne soient pas capables d'opérer une discrimination parmi les activités des hommes entre celles qui apportent une utilité sociale, celles qui sont neutres et celles qui sont nuisibles socialement, est bien la signature du marasme politique actuel. La signature de l’abdication de nos Ă©lus Ă  exercer la même, c'est une faillite déclarée de ces soi-disant politiques – qui en usurpent le nom et qui se comportent en fait comme des agents des milieux économiques – que d'être incapables de désigner les biens matériels et intellectuels, artificiels et naturels qui sont inaliénables aux intérêts privés et qui par leur nature, sont inconditionnellement dans le domaine public. Ce qui ne signifie pas nĂ©cessairement qu'ils appartiennent à l’État mais qu'ils doivent être inappropriables et que l’État doit se porter garant de ce statut commencerons par la qualitĂ© de l’air et de l’eau, par un droit minimal au logement, Ă  l’électricitĂ© et Ă  internet. L’éducation, la santĂ©, les transports. Les nouveaux Ă©lus et les citoyens Ă  travers leurs nouvelles institutions seront Ă  mĂȘme de dĂ©cider judicieusement ce qui est notre patrimoine commun et qui doit ĂȘtre mis Ă  l’abri des intĂ©rĂȘts chemin peut paraĂźtre long, mais il ne nous faudrait pas plus de 20 ans pour changer d’une maniĂšre radicalement positive le visage de notre dĂ©mocratie et de notre ans, au vu de notre longue et riche histoire, ce n’est que le court instant d’une brĂšve qu’il nous faut prendre avant de sauter en avant !ConclusionQuand je vois la pleine Lune, si brillante, comme en cette nuit d'un Samedi de fĂ©vrier à Sète, je suis absolument fasciné. Un sentiment incroyable m’envahit et je suis complètement terrassé par mon admiration envers la nature des hommes ont-ils eu l'audace un jour de penser qu'ils pourraient fouler de leurs pieds cet astre lointain ?Par quel mécanisme extraordinaire de la pensée, un ou plusieurs membres de notre espèce ont-ils pu imaginer qu'il était possible de se hisser sur ce bout de ciel ? Il est dommage que la science, peut-être le plus précieux, le plus incroyable et le plus admirable de nos arts et savoirs ne soit pas apprĂ©ciĂ©e Ă  sa juste véritable connaissance rend humble en ce qu'elle nous rappelle chaque jour l'étendue de notre ignorance. Mais c'est précisément ce qui la rend si belle. Elle est une quête infinie, un territoire d'aventures toujours renouvelé. Quand les continents ont tous été découverts sur notre Terre, elle offre encore et toujours de nouvelles contrées à découvrir puis explorer. Combien de malheurs seraient évités, j'ose le croire, si les hommes au lieu de se soucier de pouvoir et de propriété s'intéressaient plus nombreux à la bien plus fascinante entreprise de la connaissance. Alors oui, Il faut relancer des programmes de recherche ambitieux, en physique, en biologie, dans la conquĂȘte spatiale car le destin de l'homme est de l’aurez compris, je crois plus aux arts et Ă  la connaissance qu’au divertissement et Ă  la consommation comme horizon Ă  proposer Ă  notre jeunesse et Ă  la sociĂ©tĂ© toute ne suis pas de ceux qui croient que recherche scientifique rime nécessairement avec recherche militaire mais je suis de ceux qui croient que la politique si elle a un sens, c’est celui de faire des choix justes pour la sociĂ©tĂ© y compris dans l’orientation des grands programmes scientifiques. Mettons le savoir à l'honneur plutôt que cette matérialité bête et stérile, querelleuse et mortifère qui s'est emparé de notre planète. Intéressons nos futures générations à la culture, aux connaissances et aux arts et sauvons les ainsi du néant consumériste qui ne leur offre que pour seule perspective de tromper leur vide avec un geste compulsif d'achat. Le savoir est un outil puissant capable d’émanciper l’homme, mais aussi porteur de possibles destructions, il n’est ni bon, ni mauvais en soi, mais il est le destin de l’homme et celui-ci doit s’en saisir pour les bonnes raisons. Les hommes ont à toutes les époques trouvé des moyens de s’entre-tuer en masse sans l'aide d'aucune technologie sophistiquĂ©e mais pour la première fois, une idéologie – le consumérisme – poussé à fond par un complexe techno-commercial, peut rendre inhabitable la totalité de notre espace vital, le seul que nous possédions pour l'instant. Il y a donc urgence pour les hommes à redessiner une valeur alternative au consumérisme qui du reste n'est pas choisi mais imposé et il me semble que la connaissance, dans toutes ses facettes, soit un but salvateur en ces temps de bêtise effrénée. Je suis un optimisme forcené et je vois les hommes capables des plus grandes prouesses. Que des siècles de pensée nous aient permis d'aller marcher là-haut est bien la preuve que notre intelligence ne connaît pas de limites, notre imagination est sans bornes. Trouver des alternatives au capitalisme matérialiste n'est rien en comparaison des prouesses intellectuelles qu'il nous a fallu accomplir pour arriver sur notre satellite. Nous le pouvons, il nous suffit de croire à nouveau en notre capacité si réelle de maîtriser notre destin faut détruire ce dogme mensonger de la main invisible du marché qui n'est qu'une piètre transposition du non moins médiocre adage selon lequel l'homme serait un loup pour l'homme. Les hommes sont une espĂšce sociale. Les hommes sont collectivement capables de grands accomplissements. Il faut juste qu'ils daignent se réveiller, se redonner un destin et qu'ils chassent de leur gouvernement des dirigeants qui ont abandonnĂ© la politique en élisant ceux qui porteront des projets véritablement alternatifs. Saisissez-vous de cette chance historique pour la France, pour nous tous français, pour le 12 juin prochain, votez pour la sixiĂšme RĂ©publique et l’indispensable rĂ©volution sociale et Ă©cologique dont a besoin la planĂšte ! . 417 46 435 143 498 23 498 120

faut il gainer le fil de terre