Lasécurité, c'est l'affaire de tous - Episode 43 Le Bouc. NEWZY. 1:15. La sécurité en Rallye, c'est l'affaire de tous! CORSICA linea - Tour de Corse. 0:59. Bruno Lemaire réagit pour la premiÚre fois à l'affaire Carlos Ghosn, "C'est une affaire que je suis tous les jours" - Regardez. 13:59. Sophie Cluzel - "Le handicap ce n'est

Association paritaire pour la santĂ© et la sĂ©curitĂ©du travail, secteur "Administration provinciale" Recherche À propos Croyez-vous que la santĂ© et la sĂ©curitĂ©, c’est l’affaire des autres? DĂ©trompez-vous! Pour bĂ©nĂ©ficier d’un milieu de travail sĂ©curitaire, tous les travailleurs et les gestionnaires doivent connaĂźtre les diffĂ©rents enjeux en santĂ© et sĂ©curitĂ© du travail afin de collaborer ensemble pour trouver des solutions aux problĂšmes rencontrĂ©s. La prĂ©vention devient alors l’affaire de vous, de moi, de vos collĂšgues, de vos gestionnaires, de votre ministĂšre. Bref, elle devient l’affaire de tous! Objectif et dĂ©roulement Sensibiliser les participants sur les enjeux rĂ©els de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© du travail et les amener Ă  adopter des comportements sĂ©curitaires afin de bĂątir une forte culture de prĂ©vention. Les consĂ©quences potentielles d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle Les responsabilitĂ©s des travailleurs et des gestionnaires L’adoption de comportements sĂ©curitaires Cliquez ici pour faire une demande de service Vos conseillers Alexandre CĂŽtĂ© Julie Forest Vous pourriez ĂȘtre intĂ©ressĂ© par
CybercriminalitĂ© la sĂ©curitĂ© informatique est l'affaire de tous. Guillaume Poupard, directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information (Anssi) Ă  Paris, le PubliĂ© le 12/03/2003 Ă  0000 La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous »... La direction dĂ©partementale de la sĂ©curitĂ© publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprĂšs des Ă©tablissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers Ă©taient au lycĂ©e Montauriol. En avril, ils seront au lycĂ©e agricole de Capou... etc. SĂ©curitĂ©? InsĂ©curitĂ©? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thĂšmes au contact des Ă©lĂšves les incivilitĂ©s, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupĂ©fiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel Ă  la loi, le rĂŽle et les missions des policiers. Depuis le dĂ©but de cette annĂ©e, les fonctionnaires de la DDSP ont dĂ©cidĂ© de privilĂ©gier le thĂšme de la sĂ©curitĂ© routiĂšre, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupĂ©fiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'Ăąge des 15/24 ans, et que la vitesse et le dĂ©faut de maĂźtrise, mais aussi le refus de prioritĂ©... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent Ă  dĂ©livrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce dĂ©partement pointe en sixiĂšme position sur les 95 dĂ©partements français au niveau de la dangerositĂ© de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les Ă©lĂšves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la mĂȘme maniĂšre ces Ă©lĂšves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collĂšges et lycĂ©es de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sĂ©curitĂ© port de la ceinture Ă  l'avant comme Ă  l'arriĂšre, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolĂ©mie lĂ©gaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liĂ©s Ă  l'alcool... Au chapitre stupĂ©fiants, sont passĂ©s en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur rĂ©percussion sur la santĂ© mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupĂ©fiants... Autant d'Ă©lĂ©ments portĂ©s Ă  la connaissance de ce jeune public qui, une fois informĂ©, peut ĂȘtre en mesure de se prĂ©munir... C'est lĂ  toute la philosophie de cette action lancĂ©e dans le dĂ©partement il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusĂ© Ă  exemplaires auprĂšs des Ă©tablissements scolaires, des CCAS et de la fĂ©dĂ©ration des aĂźnĂ©s ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec Ă  la clĂ© des numĂ©ros utiles... Le harcĂšlement ou le viol » avec lĂ  aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite Ă  tenir, Ă©tant entendu que sur ce type de faits, les mentalitĂ©s ont Ă©voluĂ©, au sein de la police qui prend mieux en compte la dĂ©tresse des victimes, et de la part des victimes elles mĂȘmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... SĂ©curitĂ© en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite Ă  tenir en tant que victime, ou en tant que tĂ©moins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes ĂągĂ©es, prĂ©vention et attention » avec dans ce chapitre, les prĂ©cieux conseils de prudence visant Ă  dĂ©jouer la ruse des voleurs Ă  domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes ĂągĂ©es Ă©tant frĂ©quemment victimes de vols Ă  l'arrachĂ©... Ce recueil aborde aussi la sĂ©curitĂ© routiĂšre » avec un rappel du triste palmarĂšs du Tarn-et-Garonne, 6e dĂ©partement français sur 95 en matiĂšre de dangerositĂ© des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numĂ©ros utiles offrant une prise en charge de la prĂ©vention et des soins... Il offre Ă©galement de prĂ©cieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil trĂšs utile est Ă©galement disponible Ă  l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban.
Cest accompagnĂ© de ce leitmotiv que le Bureau de sĂ©curitĂ© aĂ©rienne de l’état-major de l’armĂ©e de l’Air (EMAA) a organisĂ©, Ă  Balard, le sĂ©minaire de sĂ©curitĂ© aĂ©rienne de haut niveau, les 25 et 26 mai derniers, ouvert par l’inspecteur gĂ©nĂ©ral des armĂ©es-Air et prĂ©sidĂ© par le gĂ©nĂ©ral Philippe Lavigne, chef d’état-major de l’armĂ©e de l’Air et de l’Espace
Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est Ă  l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler diffĂ©rents dispositifs informatiques. Cela peut ĂȘtre des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matĂ©rielle et numĂ©rique tels que les smartphones ou tout objet connectĂ© Ă  Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalitĂ©, la dĂ©stabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup Ă©voluĂ© au fil des ans, n’est plus le gentil rĂ©seau que l’on connaissait Ă  ses dĂ©buts. TrĂšs vite de nombreux mĂ©chants personnages ont jouĂ© sur ses vulnĂ©rabilitĂ©s pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour rĂ©cupĂ©rer des donnĂ©es sensibles auprĂšs d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'Ă  ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intĂ©rieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils Ă  s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changĂ© jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalitĂ© de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, prĂšs de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possĂšdent un tĂ©lĂ©phone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de prĂšs de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressĂ© que de 1 %. Les rĂ©seaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroĂźtre et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanitĂ©, dont plus de 50% y est connectĂ© nuit et jour. L’AlgĂ©rie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectĂ©s Ă  Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les rĂ©seaux sociaux avec 95% sur de connectĂ©s Ă  Internet et d’utilisateurs actifs sur les rĂ©seaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaĂŒm de germes et de bactĂ©ries infectieux, numĂ©riques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connectĂ© vulnĂ©rable. L’entreprise, encore plus que tout le reste Ă  cause des dĂ©gĂąts que cela peut occasionner en trĂšs peu de temps et Ă  moindre coĂ»t. Nous savons que 60% des problĂšmes de cybersĂ©curitĂ© dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intĂ©rieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est Ă  l'abri!En AlgĂ©rie, cela peut dĂ©passer les 80%. Cette diffĂ©rence de taux est dĂ» au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, Ă  la mĂ©connaissance ou Ă  la non utilisation des outils de protection et de prĂ©caution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilitĂ© de notre connexion, la faiblesse du dĂ©bit internet associĂ©es au peu de numĂ©risation des entreprises algĂ©riennes concourent Ă  l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnĂ©rabilitĂ© de nos entreprises, qui ne sont pas ou trĂšs peu protĂ©gĂ©s face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont rĂ©elles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employĂ©s indĂ©licats ou imprudents dont la nĂ©gligence est exploitĂ©e pour subtiliser des codes d’accĂšs et compromettre des donnĂ©es ou des systĂšmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuĂ©es par des professionnels pour eux-mĂȘmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rĂ©tribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontĂ©s Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se dĂ©clencher ou s’installer Ă  tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant ĂȘtre utilisĂ©es soit par des personnes rĂ©elles soit par des robots ou bots ou la combinaison des AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetEn AlgĂ©rie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la mĂ©connaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutĂ©s Ă  l'instabilitĂ© rĂ©currente du rĂ©seau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sĂ©curitĂ© de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquĂ©e en dĂ©tail dans un encartĂ©.En AlgĂ©rie l’entreprise est-elle outillĂ©e pour rĂ©pondre Ă  ces attaques? Y a-t-il une comprĂ©hension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative Ă  la protection des personnes physiques dans le traitement des donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel qui a Ă©tĂ© promulguĂ©e le 20 janvier 2020, complĂšte et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à prĂ©sent pour encadrer le domaine numĂ©rique et ses environnements. C’est un bon dĂ©but pour mettre de l’ordre et mieux protĂ©ger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaĂźtre une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation Ă  la cybersĂ©curitĂ© et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersĂ©curitĂ© rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellĂ©s dans cette Loi de passer Ă  l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prĂ©vus. Notamment l’installation de celui relatif Ă  la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information qui prĂ©voit notamment l'Ă©laboration d'une stratĂ©gie nationale en matiĂšre de sĂ©curitĂ© des SystĂšmes d'information, incluant des investigations numĂ©riques en cas d'attaques cybernĂ©tiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privĂ©s et publiques. Sans oublier la mise en opĂ©ration le plus rapidement possible de l’AutoritĂ© nationale de protection des donnĂ©es personnelles. Des outils dont l’AlgĂ©rie avait Ă©normĂ©ment besoin pour mieux protĂ©ger et promouvoir son Ă©conomie numĂ©rique une demande en la matiĂšre de la part du chef d’entreprise algĂ©rienne? De mĂȘme les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question Ă  un professionnel des Assurances pour la deuxiĂšme partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersĂ©curitĂ© sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une Ă©conomie mondialisĂ©e, il est important de souligner que tout au long de l'histoire Ă©conomique, c'est bien la confiance qui a contribuĂ© Ă  favoriser l'Ă©closion de l'Ă©conomie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersĂ©curitĂ© par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'Ă©mergence de l’économie numĂ©rique au niveau d’un pays. L’AlgĂ©rie n’a jamais Ă©tĂ© aussi proche d’une bonne fenĂȘtre de tir pour rĂ©ussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPubliĂ© la premiĂšre fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020.
LesĂ©lĂšves de CE2, de CM1 et de CM2 des Ă©coles woippyciennes participent Ă  une vaste campagne de sensibilisation Ă  la sĂ©curitĂ© routiĂšre. Woippy. La sĂ©curitĂ© routiĂšre est l’affaire de tous

Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs Ă©tatiques et municipaux actifs, et une population Ă  qui l'on demande de la passivitĂ©. L'Ă©poque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige Ă  impliquer la population et Ă  la sensibiliser sur une vigilance utile. Le monde en gĂ©nĂ©ral et la France en particulier sont rentrĂ©s dans une nouvelle Ăšre celle de l'omniprĂ©sence de la menace terroriste. Ce changement de paradigme impose Ă  chacun une implication forte de sa part. La sĂ©curitĂ© des Français n'est pas l'affaire d'un seul acteur, mais elle repose sur la prise de conscience de tous. L'Etat d'abord, qui doit remplir Ă  plein cette compĂ©tence rĂ©galienne. Pour ce faire, il est nĂ©cessaire de ne pas avoir peur de l'autoritĂ©, en interdisant par exemple certains rassemblements sur des places parisiennes qui mobilisent inutilement les forces de l'ordre. Nos forces de police et de Gendarmerie sont mobilisĂ©es au quotidien dans la lutte contre le terrorisme, elles seront encore une fois mise Ă  rude Ă©preuve pour assurer l'ordre public lors de l'Euro 2016 de football - notamment Ă  l'abord des "Fan zones" - comment peut-on alors justifier qu'en plein Etat d'Urgence nous les mobilisions pour des rassemblements quotidiens de personnes davantage prĂ©sentes pour casser que pour manifester pacifiquement ? Les maires ensuite doivent s'engager, et doivent avoir les moyens de le faire. L'armement des polices municipales est un prĂ©requis, tant pour la sĂ©curitĂ© des administrĂ©s que pour celle des agents. Cet armement devrait ĂȘtre, comme beaucoup le rĂ©clame Ă  droite comme Ă  gauche, gĂ©nĂ©ralisĂ©. L'exception devrait ĂȘtre le refus du Maire et non pas sa demande. La pĂ©riode que nous traversons nous impose de la vigilance, du courage et de la responsabilitĂ©. Concomitamment Ă  cela, l'Ă©largissement de l'encadrement juridique relatif Ă  la police municipale, sur les fouilles ou les contrĂŽles d'identitĂ©, devra indĂ©niablement suivre. Il en va de mĂȘme pour l'interopĂ©rabilitĂ© des rĂ©seaux de communication entre la police municipale et la police nationale. Nous sommes en train de la mettre en place dans ma ville, mais je suis surpris qu'il faille faire tant de dĂ©marches pour un outil qui semble si logique... Pourquoi, une fois encore, n'est-il pas gĂ©nĂ©ralisĂ© ? Il est absolument indispensable que le lĂ©gislateur en prenne conscience. Les maires doivent Ă©galement agir pour trouver des dispositifs novateurs visant Ă  toujours accroitre la sĂ©curitĂ© de leur population. Dans la ville de Saint-MandĂ©, dans laquelle je suis maire, nous avons mis en place des "Kit dĂ©tresse" qui ont Ă©tĂ© confiĂ©s aux directeurs d'Ă©coles, de crĂšches et de lieux de cultes. Ces kits d'urgence comportent un "bip" qui envoie un signal d'urgence Ă  la police municipale et Ă  la police nationale lorsqu'il est activĂ© par le dĂ©tenteur, c'est-Ă -dire en cas de pĂ©ril imminent. Dans une ville encore marquĂ©e par les attentats de l'HyperCacher qui se trouvait en face de notre place du marchĂ©, il Ă©tait important de rĂ©flĂ©chir Ă  des dispositifs rassurants et efficaces. Enfin, je suis absolument convaincu qu'une sĂ©curitĂ© efficace passe par l'implication des citoyens. Nous sommes tous acteurs de notre sĂ©curitĂ©. Les maires peuvent ĂȘtre des catalyseurs en crĂ©ant des dispositifs "Citoyens solidaires", comme nous l'avons dans notre ville. Des associations se proposent Ă©galement de fĂ©dĂ©rer la population sur cette thĂ©matique, je pense notamment aux "Voisins vigilants". Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs Ă©tatiques et municipaux actifs, et une population Ă  qui l'on demande de la passivitĂ©. L'Ă©poque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige Ă  impliquer la population et Ă  la sensibiliser sur une vigilance utile. Des formations au secourisme ou des explications sur l'attitude Ă  avoir en cas de pĂ©ril imminent doivent Ă©galement ĂȘtre diffusĂ©es aux citoyens. L'idĂ©e n'est pas d'avoir des "super hĂ©ros", mais des citoyens avisĂ©s, informĂ©s, vigilants, conscients, respectueux du bien commun et capables de rĂ©agir si besoin. Ce n'est qu'au prix de tous ces efforts que ceux qui tentent de faire planer la terreur subiront une double dĂ©faite Une dĂ©faite dans la rĂ©alisation de leurs actes, car les diffĂ©rents acteurs seront prĂȘts. Une dĂ©faite dans la volontĂ© de nous diviser, car l'Ăšre que nous traversons doit nous rapprocher et dĂ©velopper une solidaritĂ© forte entre nous.

Gestiondes risques en milieu hospitalier : La sĂ©curitĂ© des soins est l'affaire de tous. La qualitĂ© et la sĂ©curitĂ© des soins sont au centre des actions mises en oeuvre par les pouvoirs publics, amenant les Ă©tablissements de santĂ© Ă  renforcer leurs actions en matiĂšre de gestion des risques. Un sujet dont s'emparent aussi les assureurs. Tribune – – juin 2021 Depuis 2002, la politique de Nicolas Sarkozy a transformĂ© les missions et moyens de la police pour assurer la sĂ©curitĂ© de tous fermeture des commissariats de proximitĂ©, dont celui de l’Ile de Thau, multiplication de la vidĂ©osurveillance sans efficacitĂ© prouvĂ©e, centralisation des appels du 17 en dĂ©connexion avec le terrain. Tout cela participe Ă  dĂ©truire les liens entre habitants et police, dont les conditions de travail sont dĂ©gradĂ©es. Il est urgent aujourd’hui de retisser les relations entre la population et les forces de sĂ©curitĂ© de l’État, les polices municipales et les services de secours, pour un travail en synergie. Travailler avec les associations qui arpentent le terrain Ă  la rencontre des jeunes. Mobiliser des mĂ©diateurs et des agents de police municipale, dont le travail serait ancrĂ© dans la prĂ©vention et non la rĂ©pression. Augmenter le nombre de policiers nationaux pour une prĂ©sence en ville Ă  la rencontre des habitants afin de repĂ©rer au plus vite les problĂšmes et dĂ©pĂȘcher immĂ©diatement des intervenants. Le maire doit relayer notre demande d’une police de sĂ©curitĂ© du quotidien ! Surtout, nous devons passer d’une vision coercitive de la rĂ©solution des difficultĂ©s sociales et inĂ©galitĂ©s, Ă  une vision centrĂ©e sur l’éducation, le travail social, l’emploi, l’accĂšs aux droits, aux soins, Ă  la culture et Ă  un logement digne. Nous savons que ces besoins essentiels ne sont pas remplis, et cela favorise des terreaux violents et des difficultĂ©s entre citoyens et police.
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LasĂ©curitĂ© est l’affaire de tous / Uriage s’engage auprĂšs de l'AP-HP. URIAGE S’ENGAGE ET PARTICIPE A L’APPEL DE FONDS D’URGENCE COVID 19 de l’AP-HP. Uriage s’engage auprĂšs de la Fondation de l’AP-HP Assistance Publique - HĂŽpitaux de Paris en rĂ©pondant positivement Ă  l’appel de soutien exceptionnel pour soutenir le personnel soignant et La responsabilitĂ© en SST l'affaire de tous! PubliĂ© le 03/10/2017 Voir toutes les infos Tout le monde le sait, mais est-ce que tout le monde le fait? Pour que cela fonctionne vraiment en santĂ©-sĂ©curitĂ©, pour les meilleurs rĂ©sultats, c'est-Ă -dire, le moins d’accidents possible, voire mĂȘme, zĂ©ro accident, il est essentiel que tout le monde dans l’entreprise prenne ses responsabilitĂ©s. La haute direction doit faire savoir que la SST est une valeur importante. Et elle doit donner les moyens nĂ©cessaires pour le prouver ressources matĂ©rielles et humaines, et temps. Les cadres doivent s’impliquer dans chacun des outils de prĂ©vention et, surtout, mobiliser leurs travailleurs autour des efforts de prĂ©vention. Les travailleurs, quant Ă  eux, doivent adhĂ©rer aux rĂšgles de sĂ©curitĂ©, et mĂȘme, aller au-delĂ  en faisant preuve d’initiatives sĂ©curitaires. Ces exemples, parmi tant d’autres, de prises de responsabilitĂ©s en SST Ă  diffĂ©rents niveaux, nous les connaissons tous. Mais est-ce que nous agissons tous de façon responsable? Force est de constater que ce n’est pas toujours le cas! La haute direction doit faire savoir que la SST est une valeur importante. Et elle doit donner les moyens nĂ©cessaires pour le prouver ressources matĂ©rielles et humaines, et temps. Les cadres doivent s’impliquer dans chacun des outils de prĂ©vention et, surtout, mobiliser leurs travailleurs autour des efforts de prĂ©vention. Les travailleurs, quant Ă  eux, doivent adhĂ©rer aux rĂšgles de sĂ©curitĂ©, et mĂȘme, aller au-delĂ  en faisant preuve d’initiatives sĂ©curitaires. Ces exemples, parmi tant d’autres, de prises de responsabilitĂ©s en SST Ă  diffĂ©rents niveaux, nous les connaissons tous. Mais est-ce que nous agissons tous de façon responsable? Force est de constater que ce n’est pas toujours le cas! Curieusement, quand ça accroche » en termes de responsabilitĂ©s en SST dans une entreprise, ce n’est pas dĂ» au fait que les acteurs de chaque niveau hiĂ©rarchique n’ont aucune idĂ©e des responsabilitĂ©s qui leur incombent. C’est plus un problĂšme de perception. C’est-Ă -dire qu’à tous les niveaux dans l’entreprise les gens ont tendance Ă  dĂ©terminer que c’est Ă  tel ou tel autre niveau que les rĂ©elles responsabilitĂ©s se trouvent. À leur niveau, ce serait moins important
 Un exemple un dirigeant qui inscrit ses superviseurs dans une formation pour enquĂȘter et analyser les accidents sans toutefois s’assurer que leur charge de travail leur permet de prendre le temps nĂ©cessaire afin de bien effectuer le travail d’enquĂȘte et d’analyse lorsqu’un accident survient. Un autre exemple des superviseurs qui sont persuadĂ©s que la prĂ©vention, c’est surtout l’affaire des travailleurs parce que ce sont eux qui, au final, vont en bĂ©nĂ©ficier le plus en ne se blessant pas. Un dernier exemple un groupe de travailleurs qui s’implique trĂšs peu en prĂ©vention sous prĂ©texte que c’est aux boss » de s’en occuper, parce que c’est leur entreprise et que la loi les y oblige. Dans notre cours Formation Ă  la supervision, on voit, bien entendu, les responsabilitĂ©s du superviseur, mais aussi que la responsabilitĂ© doit ĂȘtre partagĂ©e en santĂ©-sĂ©curitĂ©. À tous les niveaux, on doit mettre l’épaule Ă  la roue. Entre autres, parce que c’est au niveau du plancher » que se trouvent les risques et les dangers, les rĂšgles doivent y ĂȘtre scrupuleusement respectĂ©es. L’information doit Ă©galement provenir des travailleurs dans les cas oĂč des situations anormales sont rencontrĂ©es ou pour des pistes d’amĂ©lioration. La supervision, quant Ă  elle, en sandwich entre le dirigeant et les travailleurs, doit jouer son rĂŽle de transmetteur dans les deux sens. Elle doit aussi s’investir dans les outils de prĂ©vention, montrer l’exemple et encadrer les employĂ©s. Le dirigeant, lui, doit dĂ©montrer que la SST ce n’est pas que sur du papier, il doit rendre disponibles les ressources financiĂšres et humaines, et accorder du temps, en vue d’obtenir une performance dont il sera fier, mais aussi, pour dĂ©montrer qu’il a Ă  cƓur l’intĂ©gritĂ© physique des membres de son personnel. Si votre personnel ne perçoit pas clairement ses responsabilitĂ©s en SST, il importe d’agir positivement en ce sens. Consultez notre programmation de formations, chaque niveau hiĂ©rarchique peut y trouver son compte. . 439 216 61 389 413 161 51 109

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