Tum'avais dit Tu m'avais dit que tu étais bien avec moi, Que tu pouvais plus te passer de moi, Que tu ferais tout pour moi Et que tu étais dingue de moi. Tu m'avais dit Que tu voulais me rendre heureuse, Que tu ne voudrais pas me quitter Tu avais peur que je rencontre quelqu'un. Au final tu m'as quittée. Tu n'as pas tenu parole, Je pleure
InterprĂštes HĂŽtel, motel, impair et passe / La limousine est dans ton lit / Ăpouvantail aux seins de glace / Extase, sextase and ecstasy / / Ferme les yeux, le ciel est vide / Les anges ont shinĂ© leurs motos / M⊠Au pied du mur / Dans le coma / Par les temps durs / Par les temps froids / Au pire du pire / Au pire de moi / Quand jâosais dire / âJâai besoin dâtoiâ / / Jâai besoin dâtoi / Pour me dĂ©fendre / Cont⊠Jâpasse ma vie entâ deux accords / Entâ deux villes, entâ deux shows, entâ deux bars / Tu tâimagines que jâvis et revis ma jeunesse / Pourtant, câest moĂ© qui meurt de peur que tu mâlaisses / / Jâpass⊠Les images se mĂ©langent / Dans la poudre et le sang / La mĂ©moire me dĂ©mange / La mĂ©moire me dĂ©mange / / CâtâĂ quelle heure / CâtâĂ quelle heure / CâtâĂ quelle heure / / Le prĂ©sent? / Le prĂ©sent? / ⊠BrĂ»le ta langue sur sa peau / Perds la vue dans sa voix / Fais-la rire, tiens-la au chaud / Aime-la mieux que moi / Tous les drames rĂȘvent de toucher son Ăąme / Si tu la touches, tâas pus le choix / Lâ⊠Pose et repose encore jusquâau matin / Pose et repose ton corps / Contre le mien, tout va bien / Ferme les yeux, oublie / Ne pense Ă rien / Ferme les yeux et fuis / JusquâĂ demain, tout va bien / / N⊠Celui qui a voulu voir le bout de sa vie / Celui qui a connu la chaleur de ton lit / Celui qui a touchĂ© le ciel de tes cheveux / Ne sait plus oublier mĂȘme en fermant les yeux / Apres avoir Ă©tĂ© le plus⊠Le soleil se dĂ©tache dans le ciel de carbone / Et la laideur se cache sous les voiles des madones / Toi, tu vois comme un flash sous une pluie dâĂ©toiles / Le serpent noir qui crache des larmes de cris⊠Crime que jâtâadore quand tu rentres dans place / Pis quâtous les matamores sâdĂ©placent la carcasse / Pour te laisser passer, pour te râgarder voler / Papillon diaphragme au travers dâla boucane / / ⊠La rage au corps / La mort au cĆur / Jâte veux encore / Jâen vis et jâen meurs / / Tu mâjettes pis tu mâprends / Mais lĂ câest une fois de trop / Veux-tu boire tout mon sang / Me ronger jusquâaux os?⊠Elle tâemmĂšne danser et tourner / Elle se dĂ©hanche, la blanche tornade / Elle vient dĂ©sabuser, te fouetter / La blanche tempĂȘte de sable / / Elle vient tâenvoĂ»ter, tâensorceler / FiĂšvre brĂ»lante qui ⊠Parce que je sais que tu existes / CachĂ©e derriĂšre mes rĂȘves fous / Parce que je sais que tu es triste / Quand tu penses Ă nous / / Parce que je sais que tu tâen vas / Ă chaque jour, un peu plus loin⊠Hey, hey, hey, hey / Hey, hey, hey, hey / / Jâtâun fumeux dâtrac / Vendeur dâamour / Qui boit dâla peur / / Quand jâmange la claque / Jâtâun gars qui braque / Les projecteurs / / Comme le bĂątar⊠Tu peux serrer les poings / Tu peux me rire au nez / Ăa ne me fait plus rien / Puisquâelle mâa pardonnĂ© / / Tu peux changer de rue / En me tournant le dos / Je te ris au cul / Puisquâelle touche Ă ma⊠Si tu veux faire du rock / Ăa tâprend dâla rage / Une couple de bocks / Pis un gros nuage / Câtâun cri baroque / Qui tâsort dâla cage / Quand tu dis fuck / Parce que tâen baves / / Dans lâfond dâla c⊠Câest une grande dame au trafic rock and roll / Un drame sonore qui a du soul / On entend le chant des sirĂšnes downtown / Lâenfer du dĂ©cor underground / / La belle Catherine a mis son rouge Ă lĂšvres ⊠ArrivĂ© de nulle part / Je ne suis pas dâici / Je suis du dĂ©sespoir / Comme on est dâun pays / / Il nây a pas de blessure / Dont on ne guĂ©rit pas / Mais je sais ce que dure / Les sanglots dans la voix⊠Quâest-ce que tu faisais / Pendant ma vie sans toi? / Pour qui tu dansais / Pendant ta vie sans moi? / Quâest-ce que tu cherchais / Pendant ta vie lĂ -bas? / Comment tu te brĂ»lais / La nuit dans dâautr⊠Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Elle, elle, elle / Des femmes sont passĂ©es, sans rien dire / Mâont donnĂ© lâenvie de les retenir / Des femmes sont restĂ©es une heure ou moins / ⊠Jusquâau bout de la pluie / Jusquâau bout de ma voix / Jusquâau bout de mes cris / Jusquâau bout de mes doigts / Jusquâau bout de mes nuits / Jusquâau bout de la route / Debout dans ma folie / Jusquâà ⊠On sârend des comptes, on sâfait honte, on sâemprisonne / On sâmange le coeur, câest dâvaleur, on sâempoisonne / On sâdynamite en hypocrite, on sâdonne une chance / Une dĂ©cisive en rĂ©cidive, quitte ou⊠Je voyage en enfer / Dans les bas fonds de la rue / NoyĂ© dans la boucane / Entre les bouteilles de biĂšre / Parmi les femmes qui travaillent nues / / Au milieu dâune bande de solitaires apeurĂ©s / Accr⊠Câest une princesse vraiment unique, câest la sirĂšne des / alcooliques / On lui parle comme une amie, câest une dĂ©esse dans la nuit / Ă qui on dit tout ce quâon dit pas, elle tâĂ©coute, elle te / juge ⊠Quand tâes partie, jâavais pu rien Ă perdre / Ă part ma vie pis une veille guitare dĂ©saccordĂ©e / Quand tâes partie, jâavais juste envie dâme perdre / Jâme suis perdu Ă force de te chercher / / Quand ⊠Jâai pu rien Ă dire / Jâai mĂȘme pu envie dâboire / Jâai pu envie dâsortir / Jâai presque peur dans le noir / Je veux juste dormir / Histoire de mâfaire accroire / Quâle bonheur a vu pire / / Au diabl⊠Deux cĆurs au vif / Ăa tourne Ă lâinfection / LâinfirmiĂšre de service / Nous veut bien de lâaffection / / Mais nous sommes deux sinistres / Impassibles Ă©paves au bout du bar / On a vu trop dârĂ©cifs /⊠Toujours, toujours dit oui / Ă la bouche qui mord dans le cuir de ma vie / Toujours, toujours dit oui / Ă lâamour qui dĂ©vore, quâimporte le prix / Toujours, toujours dit oui / Quand jâai mal, je le cr⊠Quand je tâai vue, câest elle que jâai râconnue / Peut-ĂȘtre que je voulais me mentir / Tu mâas cru et jâai su que tâĂ©tais fait pour me maudire / Plus je te regarde et plus jâentends ses rĂȘves / Jâveux⊠Ouh ouh ouh ouh / Ouh ouh ouh ouh / / Le jet set, la clique qui sâĂ©clate / Les robes qui flashent, les tapis rouges / Les soirĂ©e trash de taches / Câest ben beau / Mais penses-y comme faut / / ⊠Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dĂ©range / Un signal dâalarme qui dĂ©sarme et sĂ©duit mĂȘme les anges / / Ils ont tous dans les yeux ce que tu ne vois pas / Qui nâappartient quâĂ eux, qu⊠On fumait des rouleuses / Sur un sofa dĂ©foncĂ© / Et dĂ©jĂ les filles malheureuses / Venaient nous consoler / / Ăa sâoublie pas / Les annĂ©es de poĂšmes / Je chantais nâimporte quoi / Tu Ă©coutais du Cohen⊠Nah nah nah-nah-nah nah nah / / Allez, viens, jâte paye une broue / ToĂ©, tâas lâcoeur Ă bonne place / Quand un des nĂŽtres mange un coup / Tâes lâpremier sautĂ© sâa glace / Câest plus que nos histoir⊠Y a des soirs comme ça / On a peur de la folie / Des fois, on sait quâil ne faut pas / Se noyer seul dans la nuit / Des soirs, on a peur de tout / Des fois, ça fait mal, lâinsomnie / Y a des soirs par⊠Si il faut briser ses poings sur la face de lâennemi, je / briserai les miens sur la face de la vie / / Si il faut frapper plus fort que ceux qui nous menacent / / Je fracasserai la mort et les anné⊠lls ont les mains propres et les poches pleines / Dâargent soutirĂ© dans les miennes / Ils ont de belles cravates, les salauds / Ces bureaucrates qui veulent ma peau / Avant mĂȘme que je dĂ©grise / Ils m⊠Hey! / Ah, oh, hey / / Elle est mon eau-de-vie / La tempĂ©rature grimpe quand elle entre / Elle me sourit / Et toute la nuit, on danse / Avec elle, le rythme devient pervers / Avec elle, jusquâau ma⊠Tes cheveux gris / Tes mains qui tremblent / Ton insomnie / Tes nuits blanches / Ton foie malade / Ta vue qui baisse / La sĂ©rĂ©nade de tes malaises / / Tes craintes qui sâentassent / Sous le poids des⊠Ce monde sâra jamais beau / Le monde est tellement fou / Ce monde, jâen aurais fait cadeau / Heureusement, tu changes tout / / La nuit, y fait jamais chaud / La nuit, câest comme un loup / Le loup vo⊠Une chambre de motel sur le bord de la â 117 â / Jâattends de tes nouvelles les mains derriĂšre la tĂȘte / Je dessine au plafond les courbes de ton corps / Dans le bruit des camions qui montent vers le ⊠Tu mâavais dit les mots les plus fous / Ceux quâon ne croĂźt quâune seule fois / Tout câque tu veux, si tu veux tout / Je te promets nâimporte quoi / Tu mâavais dit les mots les plus doux / Je nâaimera⊠Sans hĂ©siter dans mon cĆur de bĂątard / Tu as plantĂ© tes griffes / Jâavais oubliĂ© quâun regard / Pouvait frapper comme une gifle / / Patient, je tâattends depuis lors / PrĂȘt Ă reluire dans lâeffort / ⊠Câest une histoire dâamour / Une histoire sans danger / Une histoire de tous les jours / On vient de sârencontrer / / Câest une histoire banale / Une histoire sans pitiĂ© / Une histoire qui fera mal /⊠Jâai le cĆur qui claque / Et jâen connais la cause / Pris la main dans lâsac / Jâai un peu forcĂ© sur la dose / Messieurs, les corbeaux / Qui attendez ma mort / Jâvous dis que bientĂŽt / Vous danserez s⊠Nuit de fous / Rush dâadrĂ©naline / Rendez-vous / Pour les jeux sublimes / Nuit de zoo / Du genre qui nous allume / Loups-garous / Sortons de la brume / / Nuit de fous / Diable dans sa limousine / Par⊠Reste lĂ / Envers et contre moi / Reste lĂ , le monde est guĂ©ri / Je tâen prie / Reste lĂ / Je devine oĂč tu vas / MĂȘme Ă lâautre bout du monde / Tu restes ici / Tu me poursuis / / Reste lĂ / Dans mes ⊠Les murs des bars qui penchent / Et les marins qui sây accrochent / Les annĂ©es noires et les nuits blanches / Avec du vent au fond des poches / / Les injures et les coups / Mes vieux chums du bout du⊠Tu danses / Comme un harem, tu fais lâamour / En transe / Tu mâfais voir la lune en plein jour / Je tâai bue / Comme si je buvais lâinnocence / Tes yeux nus / Me font encore des avances / Ton cul / Ne⊠à travers la fumĂ©e / Rampant sur la scĂšne / Lâange invite au pĂ©chĂ© / Tous les fidĂšles obscĂšnes / / Tendre et douce fiĂšvre / Sur lâautel de lâoffrande / Mon royaume pour ses lĂšvres / Et ma paye pour l⊠Si je savais parler aux femmes / Je lui parlerais si doux / La bouche Ă peine ouverte / Ma main sur ses genoux / / Si je savais parler aux femmes / Je lui parlerais si bas / Quâelle devrait pour mâen⊠Je suis membre viscĂ©ral / Membre du rĂšgne animal / Jâai la langue bestiale / / Pour le bien conjugal / Allez, viens quâon sâĂ©tale / Pour goĂ»ter le pĂȘchĂ© original / / Pas de tabous, rien dâanormal / ⊠Jâentre avec lâaube / Dans le village endormi / Mon vieux sac de cuir Ă lâĂ©paule / Ătranger en ce pays / / CernĂ©, besoin de repos / Dâun cafĂ©, dâun bain chaud / Dâun lit bordĂ© de draps blancs / Terre⊠Aimer / Comme jâtâai aimĂ©e / Jâpensais pas quâça sâpouvait / Jâsavais pas quâça existait / / Tâaimer / Tâaimer comme jâtâai aimĂ©e / Y a pas un homme au monde / MĂȘme sur le toit du monde / Qui tâaimer⊠Comme un glacier qui craque / Une corde qui claque / Et la nuit qui plaque / Sont des accords majeurs / / Comme une ombre insomniaque / PiĂ©gĂ© dans un cul dâsac / Plus quâune flĂšche Ă son arc / En att⊠Lâhiver sâen va, câest dur Ă croire / mais on a passĂ© Ă travers; / la terre dĂ©gĂšle, les filles sont belles, / dans lâhĂŽtel y fait chaud. / / Y en a qui sâpromĂšnent / avec une pâtite chaĂźne en or dâin⊠[Refrain] / Une chance que jâtâai / Je tâai, tu mâas / Une chance quâon sâa / / Quand tu mâappelles â mon pâtit loup â / Avec ta petite voix / Tu panses mes bleus / Tu tues tous mes papillons noirs⊠Jâtâai dit âva-tâenâ / Je lâai pensĂ© pour un instant / Jâtâai dit âva-tâenâ inconsciemment / Avec des mots dĂ©ments / Qui târentrent dedans / / JâĂ©tais blessant / Versant des larmes de bourreau / Sur âŠ
TOIQUI SAIT est une chanson en Français. TOI QUI SAIS. Tu m'as dit : "Reprenons notre liberté. C'est fini, il vaut beaucoup mieux nous quitter. Et refaire sa vie chacun de son cÎté. Voici la fin d'un long poÚme" Je t'ai dit : "C'est bien ! Mais il te faut m'aider : 'y a quelqu'un qui m'aime et m'attend à cÎté.
alpha M artiste Michel Sardou titre Les lacs du connemara Les paroles de la chanson Les lacs du connemara »Michel Sardou Terre brĂ»lĂ©e au ventDes landes de pierre,Autour des lacs,Câest pour les vivantsUn peu dâenfer,Le nuages noirsQui viennent du nordColorent la terre,Les lacs, les riviĂšres Câest le dĂ©corDu printemps suivant,Le ciel irlandaisEtait en a plongĂ©Nue dans un lacDu Kelly sâest dit "Je suis aussi."LâĂ©glise en granitDe Limerick,Maureen a dit "oui".De TiperraryBally-ConnellyEt de Galway,Ils sont arrivĂ©sDans le comtĂ©Du avait les Connor,Les OâConolly,Les FlahertyDu Ring of KerryEt de quoi boireTrois jours et deux au Connemara,On sait tout le prix du au Connemara,On dit que la vieCâest une folieEt que la folie,Ăa se brĂ»lĂ©e au ventDes landes de pierre,Autour des lacs,Câest pour les vivantsUn peu dâenfer,Le nuages noirsQui viennent du nordColorent la terre,Les lacs, les riviĂšres Câest le dĂ©corDu y vit encoreAu temps des GaelsEt de Cromwell,Au rythme des pluiesEt du soleil,Au pas des y croit encoreAux monstres des lacsQuâon voit nagerCertains soirs dâĂ©tĂ©Et replongerPour lâ y voit encoreDes hommes dâailleursVenus chercherLe repos de lâĂąmeEt pour le cĆur,Un goĂ»t de y croit encoreQue le jour viendra,Il est tout prĂšs,OĂč les IrlandaisFeront la paixAutour de la au Connemara,On sait tout le prix de la au Connemara,On nâaccepte pasLa paix des GalloisNi celle des rois dâAngleterre...
NicoleCroisille Liedtext: Tu m'avais dit: Tu m'avais dit "nous deux c'est tout un avenir" / Tu m'avais dit "je ve Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski PortuguĂȘs (Brasil) RomĂąnÄ Svenska TĂŒrkçe ÎλληΜÎčÎșÎŹ ĐŃлгаŃŃĐșĐž Đ ŃŃŃĐșĐžĐč ĐĄŃĐżŃĐșĐž ۧÙŰč۱ۚÙŰ© ÙŰ§Ű±ŰłÛ æ„æŹèȘ íê”ìŽ
InterprĂšte Bourvil 1 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumĂ© de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprĂšs de moi PrĂšs de la riviĂšre OĂč notre chaumiĂšre Bat comme un coeur plein de joie. 2 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Mais dans mes bras quelqu'un d'autre que toi Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Tu dors auprĂšs de moi L'eau de la riviĂšre Fleure la bruyĂšre Et ton sommeil est Ă moi. 3 -Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumĂ© de lilas Jamais on ne le verra Qu'est ce que ça peut faire? Qu'est ce que ça peut faire? Toi, mon enfant, tu es lĂ ! Toi, mon enfant, tu es lĂ ! BALLADE NORD IRLANDAISE BALLADE NORD IRLANDAISE Renaud SĂ©chan - Renaud - 1991 J'ai voulu planter un oranger LĂ oĂč la chanson n'en verra jamais LĂ oĂč les arbres n'ont jamais donnĂ© Que des grenades dĂ©goupillĂ©es Jusqu'Ă Derry ma bien aimĂ©e Sur mon bateau j'ai naviguĂ© J'ai dit aux hommes qui se battaient Je viens planter un oranger Buvons un verre, allons pĂȘcher Pas une guerre ne pourra durer Lorsque la biĂšre et l'amitiĂ© Et la musique nous feront chanter Tuez vos dieux Ă tout jamais Sans aucune croix l'amour ne se plaĂźt Ce sont les hommes pas les curĂ©s Qui font pousser les orangers Je voulais planter un oranger LĂ oĂč la chanson n'en verra jamais Il a fleuri et il a donnĂ© Les fruits sucrĂ©s de la libertĂ© BALS POPULAIRES LES LES BALS POPULAIRES Michel Sardou , annĂ©es 70/80 Dans les bals populaires L'ouvrier parisien La casquette en arriĂšre, Tourne, tourne, tourne bien Dans les bals populaires Les Rachel du samedi Du bleu sur les paupiĂšres Tournent, tournent, tournent aussi REFRAIN Mais lĂ -bas, prĂšs du comptoir en bois Nous on danse pas. On est lĂ pour boire un coup, On est lĂ pour faire les fous Et pour se reboire un coup Et pas payer nos verres. Pour boire un coup Et j' dirais mĂȘme un bon coup Et rigoler entre nous Sur des airs populaires bis 2 Dans les bals populaires Quand l'accordĂ©on joue Le tango des grand-mĂšres Elles dansent entre elles et l'on s'en fout Dans les bals populaires On chante un peu c'qu'on veut Moins on fait de maniĂšre Et plus ça tourne, tourne mieux AU REFRAIN Dans les bals populaires3 Chacun veut sa chanson L'orchestre joue ce qu'il sait faire Ăa tourne, tourne, plus ou moins rond Dans les bals populaires Quand le barman s'endort MĂȘme aprĂšs la derniĂšre Ăa tourne,tourne, tourne encor' AU REFRAIN BAMBINO BAMBINO Les yeux battus la mine triste , et les joues blĂȘmes Tu ne dors plus, Tu n'es plus que l'ombre de toi-mĂȘme Seul dans la rue tu rĂŽdes, comme une Ăąme en peine Et tous les soirs sous sa fenĂȘtre, on peut te voir Je sais bien que tu l'adores Bambino Bambino Et qu'elle a de jolies yeux Bambino Bambino Mais tu es trop jeune encore Bambino Bambino Pour jouer les amoureux Et gratte, gratte sur ta mandoline Mon petit Bambino Ta musique est plus jolie Que tout le ciel de l'Italie Et canta, canta de ta voix cĂąline Mon petit Bambino Tu peux chanter tant que tu veux Elle ne te prend pas au sĂ©rieux Avec tes cheveux si blonds Bambino Bambino Tu as l'air d'un chĂ©rubin Bambino Bambino Va plutĂŽt jouer au ballon Bambino Bambino Comme font tous les gamins BARCAROLE DES CONTES D'HOFFMAN BARCAROLLE DES CONTES D'HOFFMANN - Offenbach - 1880 - AltĂ©ry Belle nuit Oh nuit d'amour Souris Ă nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Le temps fuit et sans retour Emporte nos tendresses Loin de cet heureux sĂ©jour Le temps fuit sans retour ZĂ©phyrs embrasĂ©s Bercez-nous de vos caresses ZĂ©phyrs embrasĂ©s Bercez-nous de vos caresses Donnez-nous vos baisers Bercez-nous De vos baisers Bercez-nous De vos baisers Belle nuit Oh nuit d'amour Souris Ă nos ivresses Nuit plus douce que le jour Oh belle nuit d'amour Oh belle nuit d'amour Souris Ă nos ivresses Souris Ă nos ivresses Nuit d'amour Belle nuit Oh belle nuit d'amour BASTILLE Ă LA Ă LA BASTILLE REFRAIN Ă la Bastille, on lâaime bien, Lily peau dâchien, Elle est si belle et si gentille, On lâaime bien. Qui ça ? On lâaime bien, Qui ça ? Ă la Bastille ! 1. Quand elle Ă©tait petite, le soir elle allait Ă Sainte Marguerite, oĂč quâelle sâ dessalait. Maintânant quâelle est grande, elle marche le soir Avec ceux dâla bande, rue Richard Lenoir ! 2. Elle Ă la peau douce, aux tĂąches de sang, Ă lâodeur de rousse qui donne le frisson Et de sa prunelle, au ton vert de gris Lâamour Ă©tincelle, dans ses yeux dâsouris ! 3. Quand le soleil brille, dans ses cheveux roux Dâla Bastille lui fait les yeux doux Et quand elle sâpromĂšne, du bout dâ lâarsenal Tout lâquartier sâamĂšne au pont du canal ! BATEAU DE PECHE LE LE BATEAU DE PĂCHE AndrĂ© Homez - Paul Misraki CâĂ©tait un petit, tout petit voilier, Un petit bateau de pĂȘche. On lâavait bĂąti dâun bout de papier Et dâun vieux noyau de pĂȘche. Dans un petit port entre deux roseaux, On lâavait mis Ă lâamarre Il appareillait dĂšs quâil faisait beau. Pour naviguer sur la mare. Mais un jour, Le petit bateau fit un rĂȘve Ă son tour, Il voulut entreprendre un voyage au long cours Alors il sâen fut magnifiquement Tout lĂ -bas vers les tropiques, La vie quâil menait lui donnait vraiment Des idĂ©es misanthropiques. En lâapercevant chaque nĂ©nuphar Craignait quâun malheur nâarrive, Et le ver luisant qui servait de phare Lui criait âRejoins la riveâ. Mais il rĂ©pondit dâun air malsĂ©ant âJe ne crains pas les dĂ©boires, Aussi bien le fleuve et les ocĂ©ans Ce nâest pas la mer Ă boire ! Quel plaisir De voguer ainsi sur les ondes, Quel plaisir De pouvoir naviguer au grĂ© de son dĂ©sir ! Le ciel est tout bleu et le vent lĂ©ger Tous ces braves gens divaguent Je me moque bien dâailleurs du danger Car je nâai pas peur des vaguesâ. Il ne savait pas quâĂ cĂŽtĂ© de lui Un canard faisait trempette ; Pour notre bateau qui Ă©tait si petit Cela fit une tempĂȘte. Et rapidement, je vous en rĂ©ponds, Les Ă©vĂ©nements se gĂątent 36 /265 Lâeau sâest engouffrĂ©e dans les entreponts Adieu la jolie frĂ©gate. âSauve-qui-peut !â Criait le navire en dĂ©tresse, âSauve-qui-peut Je ne vais plus jamais revoir le beau ciel bleuâ. BEAU LA VIE C'EST C'EST BEAU LA VIE Delecluse, Senlis, - Jean Ferrat Le vent dans tes cheveux blonds Le soleil Ă l'horizon Quelques mots d'une chanson Que c'est beau, c'est beau la vie Un oiseau qui fait la roue Sur un arbre dĂ©jĂ roux Et son cri par-dessus tout Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce qui tremble et palpite Tout ce qui lutte et se bat Tout ce que j'ai cru trop vite Ă jamais perdu pour moi Pouvoir encore regarder Pouvoir encore Ă©couter Et surtout pouvoir chanter Que c'est beau, c'est beau la vie Le jazz ouvert dans la nuit Sa trompette qui nous suit Dans une rue de Paris Que c'est beau, c'est beau la vie La rouge fleur Ă©clatĂ©e D'un nĂ©on qui fait trembler Nos deux ombres Ă©tonnĂ©es Que c'est beau, c'est beau la vie Tout ce que j'ai failli perdre Tout ce qui m'est redonnĂ© Aujourd'hui me monte aux lĂšvres En cette fin de journĂ©e Pouvoir encore partager Ma jeunesse, mes idĂ©es Avec l'amour retrouvĂ© Que c'est beau, c'est beau la vie Pouvoir encore te parler Pouvoir encore t'embrasser Te le dire et le chanter Oui c'est beau, c'est beau la vie BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS LES LES BEAUX DIMANCHES DE PRINTEMPS Paroles Jean Laurent - Musique Gaston Gabaroche 1934 - InterprĂšte RĂ©da Caire - 1 - Non chantĂ© ici Comme je t'aimais, comme on s'aimait J'Ă©tais alors encore enfant Et dans la vie gaiement j'allais Le coeur lĂ©ger comme le printemps Les fleurs des champs et les prĂ©s verts Dont le parfum vous ennivrait Ătaient pour moi tout l'univers Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'embrassait Ă chaque instant Quand on allait Ă Robinson Les beaux dimanches de printemps. 2 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Et puis le soir je me souviens Sous les guinguettes, comme on chantait Le coeur bercĂ© de doux refrains J'Ă©tais grisĂ© de mon bonheur GrisĂ© d'air pur et l'on rentrait Les bras chargĂ©s de jolies fleurs Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă Robinson Danser sous les lampions tremblants Ou s'allonger sur le gazon Comme des oiseaux dans les buissons On s'bĂ©cotait Ă chaque instant Quand on allait Ă Robinson Les beaux dimanches de printemps. 3 -Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Mais ce beau temps est bien passĂ© Sans un baiser, d'un air distrait, Tu m' dis adieu, toujours pressĂ©e Alors je vis du souvenir Des soirs d'Ă©tĂ© oĂč l'on faisait Des rĂȘves fous pour l'avenir Comme je t'aimais, comme on s'aimait ! Refrain Les beaux dimanches de printemps Quand on allait Ă Robinson Comme il est loin ce joli temps OĂč je chantais comme un pinson J'ignorais toutes les trahisons La jalousie, la voix qui ment Quand on allait Ă Robinson Les beaux dimanches de printemps. BĂCASSINE IS MY COUSINE BĂCASSINE IS MY COUSINE Chantal Goya Elle est nĂ©e un beau matin dans un berceau de bois Son pĂšre et sa mĂšre n'en revenaient pas De voir cet enfant rose dodue Ă la fois Avec un nez qu'on ne voyait pas AussitĂŽt le village se prĂ©parait dĂ©jĂ Pour venir fĂȘter ce baptĂȘme, mais voilĂ Il fallait un nom, elle n'en avait pas Mais son papa qui se trouvait lĂ A dit "puisqu'elle ira en classe, A Clocher les BĂ©casses Moi j'ai trouvĂ© comment il faut l'appeler" REFRAIN 1 BĂ©cassine, c'est ma cousine BĂ©cassine, on est voisine Quand je m'en vais voir ma grand-mĂšre Qui habite au bord de la mer Je retrouve ma BĂ©cassine Qui m'emmĂšne au bout de la terre BĂ©cassine, c'est ma cousine BĂ©cassine, eh lĂ cousine ! Marie-qui-louche m'amuse beaucoup Ensemble on fait les quatre cents coups BĂ©cassine, tu nous rends fous Un soir BĂ©cassine est parti pour le pensionnat Aider les enfants pour les vacances Ă Etretat Je m'ennuyais d'elle, on s'Ă©crivait, oui mais voilĂ Ce n'Ă©tait plus du tout comme autrefois Quand je partais avec elle Ă la ville, dans son automobile Dans son avion, faire des loopings au-dessus des Ăźles REFRAIN 2 x3} Becassine is my cousine, Becassine is my voisine Oh when I'm feel I'm getting high I like dancing all the night, I find again my Becassine and all together we get high BĂLINDA BĂLINDA Claude François Il faut que je vous chante pour oublier Une Ă©toile filante qui m'a quittĂ© Vous pouvez m'aidez Ă la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Ăa fait dix fois qu'elle s'en va et qu'elle revient C'est elle qui fait mon cĆur et qui dĂ©fait mon cĆur de ses mains Si vous la voyer Vous la reconnaitrez Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Je devrais en avoir l'habitude Et l'attendre comme je l'ai fait souvent Mais j'entends crier ma solitude Je l'appelle et ma voix tombe dans le vent Elle est dans mon sommeil comme une fleur Un soleil sans soleil et sans chaleur Vous pouvez m'aider Ă la trouver Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda Elle a les yeux bleus Belinda Elle a le front blond Belinda BELLA RAGAZZINA BELLA RAGAZZINA Paroles G. Koger, H. Vendresse Musique Vincent Scotto InterprĂšte Tino Rossi 1936 1 -ChĂ©rie, tu m'avais promis tes caresses C'est pourquoi plein d'espoir Dans l'ombre je viens ce soir Il ne faut pas oublier ta promesse Car les baisers perdus Vois-tu, ne se retrouvent plus Allons, viens donc... - Refrain Bella Ragazzina Picola bambina Dans la nuit divine Viens tout prĂšs de moi Ma voix t'implore Mon coeur t'adore Dans la paix profonde Oubliant le monde Pour une seconde Je veux plein d'Ă©moi T'aimer encore Rien qu'une fois Tra la la la Tra la la la la Ă Ragazzina Je suis fou de toi ! 2 -Jusqu'au matin, sous un ciel plein d'Ă©toiles Je veux sans me lasser Te chĂ©rir et te bercer PassionnĂ©ment je lĂšverai ton voile Pour poser sur ton cou Les baisers d'amour les plus fous Allons, viens donc... BELLE HISTOIRE UNE, UN BEAU ROMAN UNE BELLE HiSTOIRE, UN BEAU ROMAN Michel Fugain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, La-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont trouvĂ©s au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait sans doute un jour de chance Ils avaient le ciel Ă portĂ©e de main Un cadeau de la providence Alors pourquoi penser au lendemain Ils se sont cachĂ©s dans un grand champ de blĂ© Se laissant porter par les courants Se sont racontĂ©s leur vies qui commençaient Ils n'Ă©taient encore que des enfants, des enfants Qui s'Ă©taient trouvĂ©s au bord du chemin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait sans doute un jour de chance Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains Comme on cueille la providence Refusant de penser au lendemain C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui Il rentrait chez lui, la-haut vers le brouillard Elle descendait dans le midi, le midi Ils se sont quittĂ©s au bord du matin Sur l'autoroute des vacances C'Ă©tait fini le jour de chance Ils reprirent alors chacun leur chemin SaluĂšrent la providence en se faisant un signe de la main Il rentra chez lui, la-haut vers le brouillard Elle est descendue La-bas dans le midi C'est un beau roman, c'est une belle histoire C'est une romance d'aujourd'hui BELLE DE CADIX LA LA BELLE DE CADIX Vandair - Lopez - 1946 - Luis Mariano La Belle de Cadix a des yeux de velours La Belle de Cadix vous invite Ă l'amour Les caballeros sont lĂ Si, dans la posada On apprend qu'elle danse ! Et pour ses jolis yeux noirs Les hidalgos le soir Viennent tenter la chance ! Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Ne veut pas d'un amant ! La Belle de Cadix a des yeux langoureux La Belle de Cadix a beaucoup d'amoureux Juanito de Cristobal Tuerait bien son rival Un soir au clair de lune ! Et Pedro le matador Pour l'aimer plus encor' Donnerait sa fortune ! Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix n'a jamais eu d'amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter N'a jamais eu d'amant ! La Belle de Cadix est partie un beau jour La Belle de Cadix est partie sans retour ! Elle a dansĂ© une nuit Dans le monde et le bruit Toutes les seguidillas ! Et puis dans le clair matin Elle a pris le chemin Qui mĂšne Ă Santa Filla ! La Belle de Cadix est entrĂ©e au couvent Mais malgrĂ© son sourire et son air engageant La Belle de Cadix ne veut pas d'un amant ! Chi-ca ! Chi-ca ! Chic ! Ay ! Ay ! Ay ! ter Est entrĂ©e au couvent ! Ah ! BELLE ĂLE EN MER BELLE ĂLE EN MER, MARIE-GALANTE A. Souchon - L. Voulzy, -1986 Belle-Ăle-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă part Moi des souvenirs d'enfance En France Violence Manque d'indulgence Par les diffĂ©rences que j'ai CafĂ© LĂ©ger Au lait mĂ©langĂ© SĂ©parĂ© petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement Belle-Ăle-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă part Comme laissĂ© tout seul en mer Corsaire Sur terre Un peu solitaire L'amour je le voyais passer OhĂ©, ohĂ© Je le voyais passer SĂ©parĂ© petit enfant Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d'isolement 38 /265 Belle-Ăle-en-Mer Marie-Galante Saint-Vincent Loin Singapour Seymour, Ceylan Vous c'est l'eau, c'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă part Karukera CalĂ©donie Ouessant Vierges des mers Tous seules Tout le temps Vous c'est l'eau C'est l'eau Qui vous sĂ©pare Et vous laisse Ă part Hou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou-ou BELLE ISABELLE BELLE ISABELLE Paroles Pierre Tchernia - Musique Jo Moutet InterprĂšte Georges GuĂ©tary - 1 - Au mois de mai, belle Isabelle, Quand tu es nĂ©e, belle Isabelle, On t'a nommĂ©e belle Isabelle Tu Ă©tais fraĂźche comme une fleur des champs Et ta maman, belle Isabelle, En te berçant, belle Isabelle, Chante souvent, belle Isabelle Cette chanson que lui chantait sa maman. La la la la La vie est belle, belle Isabelle La la la la Comme un bouquet au mois de mai. 2 -Tu as grandi, belle Isabelle, D'autres t'ont dit, belle Isabelle, Que tu es si belle, Isabelle, Qu'ils ont envie de le dire toute la vie Profites-en, belle Isabelle, Car le printemps, belle Isabelle, Ăa n'a qu'un temps, belle Isabelle, Il faut cueillir le lilas quand il est lĂ . La la la la La vie est belle, belle Isabelle, La la la la Les amoureux vont deux par deux. 3 -Un jour, naĂźtra une Isabelle, Tu souriras, belle Isabelle, Tu chanteras, belle Isabelle, Cette chanson que te chantait ta maman Y 'aura toujours des Isabelle Vive l'amour, la vie est belle Chacun son tour, belle Isabelle, D'avoir seize ans et d'attendre le printemps. La la la la La vie est belle, Belle Isabelle La la la la Belle Isabelle. BELLE NUIT, Ă NUIT D'AMOUR BELLE NUIT, Ă NUIT D'AMOUR Belle nuit, ĂŽ nuit d'amour, souris Ă nos ivresses Nuit plus douce que le jour, ĂŽ belle nuit d'amour Le temps fuit et, sans retour, emporte nos tendresses Loin de cet heureux sĂ©jour, le temps fuit sans retour ZĂ©phirs embrasĂ©s, versez-nous vos caresses ZĂ©phirs embrasĂ©s, versez-nous vos caresses
tum'avais dit que j'Ă©tais ton ami, ton frĂšre ton amant et ton amoureux tu m'avais dit c'est une chance de s'ĂȘtre trouver tous les deux. c'Ă©tait toi que j'attendais c'Ă©tait toi que j'espĂ©rais dans le matin clair de ma vie mais j'entendais des violons, j'aurai pu faire des chansons de tout ce que tu m'avais dit. tu m'avais dit les mots les
Paroles de la chanson Merci... pour tout merci papa par Michel Sardou C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup . Vous direz Ă mes filles, quand elles auront quinze ans, Qu'elles sont nĂ©es un jour d'un Ă©clat de printemps. Leur maman Ă©tait belle et j'en avais envie Mais le ciel m'est tĂ©moin que je n'ai rien promis. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. Vous direz Ă mes filles, quand elles auront quinze ans, De se mĂ©fier des hommes qui leur disent en chantant Des paroles d'argent pour atteindre leur cĆur Et font en mĂȘme temps le geste du semeur. C'est un beau coup papa, Un coup de trop. Coucou et nous voilĂ , AnnĂ©e zĂ©ro. Toi tu as disparu Au premier coin de rue. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. Vous direz Ă mes filles, si vous les rencontrez, De bien jouir de la vie que je leur ai donnĂ©e, De jouer Ă tous les jeux et surtout Ă l'amour, Et d'oublier demain pour le bonheur du jour. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. On est dans l'coup papa, Et jusqu'au cou. Toi tu t'envoies en l'air Et nous voilĂ sur terre. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup. C'est un beau coup papa, Un coup de trop. Coucou et nous voilĂ , AnnĂ©e zĂ©ro. Toi tu as disparu Au premier coin de rue. C'est un beau coup papa, Merci beaucoup.
Leprintemps ressuscite et redonne vie, cha leur, lumiĂšre. FĂ©lix (de son grand nom) Leclerc (de son petit nom) a fait du printemps une âą-3 tr-1 >< figure paradigmatique de son Ćuvre. Le printemps y apparaĂźt comme l'envers (et le rĂ©el) des chose d'hivers sou. s tant Printemps paradigme, printemps paradis. Sa fameuse chanson
11 thoughts on âChant â BumbaĂŻa â Les ogres de Barbackâ Elle est magnifique et jâadore les Ogres de Barback. Merci beaucoup !!!!! Jâadore ! Les CM de lâĂ©cole lâont chantĂ©e lâannĂ©e derniĂšre dâailleurs, câĂ©tait beau ! đ Fan des ogres depuis euhh leur dĂ©but ?! jâessaye de faire une chanson dâeux chaque annĂ©e en classe. Celle-ci remporte un franc succĂšs. Les Ă©lĂšves la rĂ©clament systĂ©matiquement ! Câest effectivement une chouette chanson, que jâinscris dorĂ©navant sur ma liste de chorale. Merci bien et bravo aux Ogres de Barback ! Bonnes fĂȘtes de fin dâannĂ©e. Bonsoir, jâadore aussi les Ogres et BumbaĂŻa en particulier mais je voudrais savoir si tu utilises une version instrumentale ou bien si tu fais chanter les Ă©lĂšves sur la version du CD ? Alors, de mĂ©moire jâavais une version instrumentale quelque part sur internet mais je ne sais plus oĂč. Ceci dit, on a beaucoup chantĂ© directement via lâalbum des Ogres il me semble. Merci pour le partage de tous ces titres⊠jâĂ©tais en manque dâinspiration!!! Contente que ça puisse tâinspirer. đ Bonjour, jâadore cette chanson mais jâavoue que je bloque complĂštement sur le refrain en mongol. Je nâarrive pas Ă entendre en phonĂ©tique. Comment avez vous fait pour lâapprendre avec vos Ă©lĂšves ? Merci pour vos retours. Il me semble que je les avais laissĂ©s se dĂ©patouiller phonĂ©tiquement. On avait beaucoup chantĂ© sur la bande son. Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es.
Printemps tu mâavais dit Loig Morin. Track 1 on Printemps View All Credits 1 1. Lyrics for this song have yet to be released. Please check back once the song has been released. Embed. Cancel
CâĂ©tait il y a cent ans, exactement. Guillaume Apollinaire, le grand Guillaume Apollinaire, avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© blessĂ© par un Ă©clat dâobus, puis trĂ©panĂ©, mais cet automne-lĂ , sa saison mentale» touchait vraiment Ă sa fin. Le 9 novembre 1918, il Ă©tait emportĂ© par la grippe espagnole. Deux jours avant lâarmistice, oui. Le poĂšte dâAlcools» avait 38 ans. DâApollinaire, on connaissait les magnifiques Lettres Ă Lou», quâil avait adressĂ©es du front Ă Louise de Coligny-ChĂątillon, mais pas les rĂ©ponses de celle qui fut sa grande passion entre septembre 1914 et le 28 mars 2015. Pierre Caizergues en a exhumĂ© une quarantaine, quâil publie aujourdâhui chez Gallimard. Pierre Caizergues a bien suite aprĂšs la publicitĂ© Ces Lettres Ă Guillaume Apollinaire», qui courent jusquâen janvier 1916, sont souvent assez salĂ©es, parfois drĂŽles, toujours Ă©mouvantes. MĂȘme lorsque lâamitiĂ© est supposĂ©e avoir remplacĂ© lâamour, mĂȘme entre deux Ă©vocations des gigolos» quâelle paraĂźt accumuler, Lou lui dit aussi sa mĂ©lancolie, son manque, son inquiĂ©tude. Le jour oĂč Apollinaire a reçu un Ă©clat d'obus dans la tĂȘte Ici, elle lui envoie une petite, toute petite intention vicieuse⊠pour te chavirer un peuâŠÂ». LĂ , elle ordonne Ă son poĂšte », comme un officier Ă son meilleur soldat La suite aprĂšs la publicitĂ© je veux que tu mâaimes encore plus !! dĂ©pĂȘche-toi de tuer tous les boches pour vite revenir !! »Et lĂ , câest La grande solitude de la guerre⊠Câest trĂšs beau mais que câest triste, et ta petite enfant chĂ©rie devient de plus en plus une grande enfant trop sĂ©rieuse ! et dont toute la gaietĂ©, tout lâentrain sâen vont⊠Il me semble que cette guerre mâaura donnĂ© 30 ans de plus ! Si tu mâavais connue avant, gosse endiablĂ©e. Je nâen peux plus, je suis au bout de mes forces, triste, triste.»Apollinaire, qui de son cĂŽtĂ© sâĂ©tait fiancĂ© avec Madeleine PagĂšs dĂšs le 10 aoĂ»t 1915, sâest-il souvenu de son amour pour Lou, avant de mourir le 9 novembre 1918, et de ce quâelle lui Ă©crivait ? Personne ne le saura jamais, sans doute. Mais cent ans plus tard, les Ă©ditions Gallimard nous permettent de les rĂ©unir, en nous autorisant Ă publier ici une des plus fougueuses lettres de Lou au poĂšte du Pont Mirabeau», de la Chanson du Mal-Aimé» et des Onze mille verges». Elle date de fĂ©vrier 1915 et en dit long, semble-t-il, sur la nature de leur complicitĂ©. La voici. Lettre de Lou Ă Guillaume Apollinaire Mon petit adorĂ© chĂ©ri, je suis vannĂ©e esquinÂtĂ©e abrutie !... pas fermĂ© l'Ćil une seconde... j'Ă©tais dans un Ă©tat pas cochon!!! et je vais tout Ă l'heure lire les vers du petit garçon que tu fouettes si bien... je fermerais les yeux... et ce sera la jouissance complĂšte... comme deux fois cette nuit... je n'en peux plus !... Oh mon Gui que j'ai besoin de toi, besoin de ton amour ! besoin de tes caresses les plus douces et les plus enivrantes... besoin surtout de ta sĂ©vĂ©ritĂ© la plus sauvage !... Je t'aime Ă la folie et tu m'as toute dans ton cĆur et dans ta chair... les deux ne font qu'un avec moi... Je n'ai jamais Ă©tĂ© aussi excitĂ©e ! Oh mon Gui, si tu Ă©tais lĂ ... Je voudrais t'embrasser, te prendre, te boire... t'embrasser, te caresser de ma langue partout ! partout... Toutes les cochonssetĂ©s... et tous les vices les ai tous dans le sang en ce moment. Gui mon Gui aime-moi ! Je veux tout le vice et toute la voluptĂ©. J'ai Ă©tĂ© un peu vicieuse cette nuit et pas trĂšs sage. Quoique je n'ai rien fait de mal et je crois que quand je t'aurai tout avouĂ© dans l'oreille, tu me fouetteras trĂšs fort... Tu ne seras pas content... et tu me corrigeras jusqu'Ă ce que le sang paraisse sous les coups sĂ©vĂšres que j'ai mĂ©ritĂ©s... Je te vois me tenant sous ton bras pressant mon petit ventre dur, pour qu'en souffrant la voluptĂ© soit plus forte, que je jouisse Ă mourir sous la chlague... Je me sens presque Ă ce moment qui sera si douloureux mais oĂč je t'aimerai Ă l'adoration... Tu m'obligeras Ă lever bien haut mon petit derriĂšre en signe de soumission... et Ă bien Ă©carter mes grosses fesses, pour que ton regard de maĂźtre plonge partout... et pour que le fouet me corrige partout et lĂ surtout oĂč je t'aurai dĂ©sobĂ©i en m'excitant comme tu me le dĂ©fends... Tu seras trĂšs fĂąchĂ© et tu me corrigeras comme jamais encore je ne l'ai Ă©tĂ© quand je t'aurai tout dit... Mon petit derriĂšre vicieux deviendra d'abord tout rouge... et dĂ©jĂ je demanderai grĂące... mais tu serreras plus fort ton bras sous ma taille... ta chĂšre voix se fera plus colĂšre... et tu taperas plus fort encore... Mon petit derriĂšre deviendra violet et bleu... Je crierai de douleur... Je te supplierai... N'en pouvant plus, je ferai des efforts dĂ©sespĂ©rĂ©s pour me soustraire Ă la correction si dure, mais mĂ©ritĂ©e...La suite aprĂšs la publicitĂ© "Je vais me tordre de dĂ©sir toute la nuit" les lettres de Lou Ă Apollinaire Mais tu es le plus fort. Tu me maintiendras de force dans la position soumise... Tes doigts entrant dans mon petit ventre qui se gonflera de voluptĂ© sous cette pression violente, mon petit derriĂšre ne pourra plus fuir les terribles cinglades... J'aurai des soubresauts d'affreuse souffrance, mes grosses fesses meurtries s'ouvriront et se fermeront dans une voluptĂ© infinie... et tu les verras sans pitiĂ©... ta main descendra du ventre dur et gonflĂ© et sentira la jouissance venant Ă flots... je crierai de voluptĂ© plus encore que de douleur tandis que tu me flagelleras de plus en plus fort... et que le sang viendra sous tes derniĂšres cinglades... Alors tu seras satisfait ! Tu jetteras le fouet vengeur... Tu m'Ă©tendras sur le ventre... infiniment vaincue... pantelante... Je me laisserai faire ! n'ayant plus mĂȘme la force de te supplier... tu Ă©carteras mes fesses en sang... et tu y pĂ©nĂ©treras profondĂ©ment sans pitiĂ©... pendant que je m'Ă©vanouirai dans un dernier spasme... Mon Gui je vois toute cette scĂšne... Je sais qu'il faudra que je la subisse â ... et je me sens soumise Ă toi Ă l'adoration. J'ai peur de l'affreuse douleur... et j'en ai besoin... et je suis grise de voluptĂ© Ă cette seule pensĂ©e... je n'ai jamais ressenti avec cette violence le vice de la flagellation que tu as dĂ©veloppĂ© chez moi Ă l'extrĂȘme... Avant d'ĂȘtre ta chose, je n'y pensais que rarement... Je ne me suis jamais sentie la chose de personne comme je sens que je t'appartiens... Gui! Mon Gui que j'adore ! et de toi, je veux toutes les folies et toutes les voluptĂ©s !... Mon amant chĂ©ri ! Mon homme !!! Mon esprit d'aventure se trouve dans son Ă©lĂ©ment. J'ai mon browning sur moi! pour le cas oĂč je tomberais entre les mains de sales boches qui voudraient me violer!... Tu vois ça! Je parie que je serai encore fouettĂ©e pour cela en retour... Ăa serait pourtant pas ma faute...??? Trois officiers anglais avec moi... dont un roux tout Ă fait bath... qui me regarde profondĂ©ment. Je m'amuse Ă soutenir, en faisant le mien langoureux... avec ça les secousses du train m'excitent... je vais finir par jouir... Il le verra sĂ»rement. Je laisserai mon regard dans le sien en ce moment exquis... C'est peu de choses, puisqu'il ne me touche mĂȘme pas... mais c'est infiniment voluptueux... ai une envie folle de me donner Ă cet inconnu! Si je ne t'aimais pas je crois que je le ferais ! Je crois qu'il veut m'hypnotiser ! Je n'en peux plus d'Ă©nervement... Je viens de jouir sous le regard dominateur de l'Anglais... et je sais qu'il l'a vu! Il ne me quitte plus des yeux... Je suis toute chavirĂ©e... brisĂ©e Ă mourir... Zut ! je vais encore ĂȘtre fouettĂ©e pour cela! Mais ma voluptĂ© est telle en ce moment que mĂȘme par un suprĂȘme effort de volontĂ© je ne pourrai pas m'y soustraire !La suite aprĂšs la publicitĂ© Cher Apollinaire, bienvenue dans le domaine public Oh mon Gui revenir vite dans tes bras ! pour que tu punisses cette furieuse excitation! pour que tu me brises ! Je n'en peux plus je t'adore !! Le train galope et la pluie tombe... suis trop Ă©nervĂ©e pour continuer d'Ă©crire... Je t'adore mon Gui ! Je suis toute Ă toi... terriblement vibrante et passionnĂ©e... ai besoin de coups de cravache... besoin d'ĂȘtre brisĂ©e, vaincue par toi ! Je t'adore. Ton petit Lou ©Gallimard
. 178 452 117 127 210 333 363 361
chanson tu m avais dit pour le printemps